Je n’aurais peut-être pas dû venir …
Zafira & Fitz & Kai

Aujourd’hui c’était une journée plutôt belle, le soleil était haut dans le ciel, la chaleur n’étais malheureusement pas entièrement présente. Il ne faisait pas froid, mais un léger vent rafraîchissait l’atmosphère.

En début d’après midi, j’eu l’envie soudaine d’aller me dégourdir les jambes, ou plutôt les pattes. Je sortis donc de chez moi juste après avoir embrasser ma tante, je fis quelques pas encore sur deux jambes avant de me transformer. L’air frais caressait mes poils, avant de chatouiller mes oreilles, je marchais doucement au début puis je pris plus de vitesse, juste comme sa, parce que l’envie m’en prenait. Je n’étais pas presser, loin de là, je voulais me reposer et être au calme. Je broutais de l’herbe de tant à autres avant de reprendre mon chemin. J’arrivais alors là, où je me dirigeais depuis le début, la cascade dorée. C’est un endroit assez caché mais vraiment magnifiques, le soleil tape sur l’eau ce qui rend les reflets dorés vraiment éclatant. Un endroit vraiment reposant, remplis de beauté secrète, quand on est ici on a comme l’impression, que la nature nous offre tous sa et que c’est rien que pour nous.

Je me retransformais alors, et admirais le paysage avant de m’appuyer contre un arbre qui se trouvait juste en face de la cascade. Je viens souvent ici pour me vider la tête, et aussi quand j’ai petit coup de blues mais surtout pour écrire. Oui je tiens une sorte de journal intime, où j’y écris mes peines mais aussi mes joies.

Je glissais alors le long du tronc, jusqu'à être assit sur le sol. J’ouvris ensuite mon journal, que j’avais pris soin de prendre avant de partir de la maison. Je savais ce que j’allais écrire, j’allais parler de Kai. Mon journal est le seul à être au courant de ma relation avec Kai, ce qui me plaisait bien, j’aimais bien que notre relation naissante soit en quelques sortes secrètes. De toute façon, je n’écris presque que sur lui, et on ne change pas les bonnes habitudes.

Je commençais dons a écrire quand je fus couper par un bruit de pas non loin de moi, la peur s’empara de moi et je posa mon journal a coté de moi avant de me lever. Mais ma peur s’envola quand j’aperçus Fitz, je ne le connaissais pas vraiment, nous nous étions seulement croisés quelques fois, mais il était plutôt sympas quoique un peu spécial, mais je l’aimais bien.

- Oh c’est toi ! Tu m’as fait peur

Lui dis-je un sourire aux lèvres.

La forêt était calme, comme si quelque chose se préparait au loin, un mauvais présage, elle qui était d'habitude si..... vivante. Elle semblait morte. Peut-être etait-ce à cause de l'hiver qui prenait place petit à petit. Et oui, finalement il arrivait, Fitz le savait qu'il arriverait tôt ou tard même s'il espérait au fond de lui que jamais il ne viendrait. Brrr, le froid, les maladies, la neige, la nourriture moins présente. Comment pouvait-on aimer cette saison ? Il voulait profiter des dernières lueur du beau soleil d'automne, avec les orbre tinté d'ocre et d'or. Il voulait un dernière fois courrir entre les bois la veste ouverte, le manches remonter. Dans quelques jours il portera des grosses chaussures, une grosse veste, un gros pull, et il avait horreur de se sentir étouffé. Mais il était bien obligé s'il ne voulait pas rester au lit avec une tasse de thé à attendre que le temps passe.On l'a tous compris Fitz déteste l'hiver.Il avait de la chance, aujourd'hui la journée était merveilleuse, un soleil brillait sous un ciel d'un bleu éclatant et une petite brise venant caresser les feuilles des arbres pour rafraichir ce petit monde. Un peu plus de chaleur aurait été la bienvenu mais on ne pouvait tout avoir. Il fallait se satisfaire de ce que l'on pouvait avoir et de ce que l'on avait.

Ses pas le menère à la cascade doré, l'eau était à présent trop froide pour que quelqu'un puisse s'y baigner, sauf si la personne était folle ou completement insensible à la température glacé. Il aimait entendre le clapotis de l'eau, fermer les yeux et écouter son son irrégulier le détendais. Et un soleil qui le réchauffait, c'était parfait. Mais aujourd'hui il n'avait pas envie de faire un bain de soleil. L'adolescent contourna un rocher grisâtre qui s'était décroché de la cascade. Il suivait le fin chemin trasser sur le sol, celui dont il avait l'habitude de prendre mais dont il ne se lassait jamais. Il aimait sentir le bon parfums des arbres environnent, il en reconnaissaient quelques-uns. Alors qu'il poursuivait son chemin il aperçut une silhouette assise sur le sol adossé à un arbre, un stylo dans la main et un carnet poser sur les genoux. Sûrment une fille, on voyait rarement les hommes avec des cahier.

Fitz s'approcha tranquillement pour reconnaitre qui était la personne assise vers la Cascade Dorée. Elle avait les chevaux long, ondulé et brun, son visage lui disait quelque chose ? Ou l'avait-il vu déjà ? Son nom était au bout de la langue mais il ne voulais pas sortir. Il se souvenait lui avoir parler vite fait, mais le reste..... il ne s'en rapelait plus. Ah ça y est ! Zaphira ! Elle était plutôt sympa mais il n'avait pas pu la connaitre d'avantage, c'était le moment de faire connaissance. Il la rejoigni d'un pas certain.
Celle-ci, qui n'avait pas remarqué sa présence, sursauta en l'entendant et se leva avant de poser son carnet sur le sol. Oups, il lui avait fait peur sans le vouloir. Il était content que Zaphira le reconnaisse, elle lui sourit, un beau sourir qui lui rendit.

"-Oh, désolé, je ne voulais pas te faire peur. J'étais en train de profiter des derniers jours avant l'hiver. Sinon ça ca ?"

Fitz s'assit sur le sol non sans élégance avant de proposer d'un signe de main à Zaphira de se rassoir près de son arbre. Sa longue marche l'avait un peu épuiser et ses jambes demandais "repos".

Je fus soulagé de voir que c'étais Fitz, sa aurait pus être un animal prêt a me bondir dessus ou tous autre personne mal intentionnée. Secrètement j’espérais que ce soit Kai, mais c'était presque impossible, que ferais t-il là pile a ce moment au même endroit que moi, c'était complètement improbable. Fitz était plutôt grand, brun, un joli garçon, je le connaissais pas vraiment, mais je serais très contente de le connaître plus, qui sait peut-être que nous pourrions être amis.

Le jeune homme s'assit a coté de là où j'étais assise quelques instants plutôt, il me fit signe de me rassoir a ma place, ce que je fis. Il avait pris la parole juste avant de s'asseoir, je lui répondis donc :

- C'est pas grave t'inquiète pas. Je faisais comme toi avant de tu n'arrive, on est pas encore en hiver mais il ne fait déjà plus très chaud, faut en profiter avant qu'il fasse vraiment froid. Sinon moi sa va très bien, quoique un peu froid, mais sa va et toi ?

C'est seulement maintenant que je me rendais compte de comment j'étais habillé, j'avais une robe qui m'arrivais juste au dessus du genoux, un collant fin, des bottes et une veste en cuir. Normale que j'ai froid. J'examina une nouvelle fois le paysages, c'était vraiment beau, l'eau de la cascade ressemblait beaucoup a la couleur des feuilles qui recouvrait le sol. Et les rayons du soleil illuminait tous, sa aurait mériter une photo. J'aime l'odeur de l'automne, les feuilles mortes et tous ce que je l'on peux trouvé à cette saison. Je reporta ensuite mon attention sur Fitz, qui semblait songeur, le soleil tapait sur son visage, il avait l'air d'être dans son éléments. .

L'arrivé de Fitz m'avait arraché à mes pensés, et à ce que je j'avais prévue de faire. Mais maintenant qu'il était là je n'allais pas le chassé, et puis un peu de compagnie ne me dérangeait pas, pour une fois que je voyais quelqu'un autant en profiter. J’espérais pouvoir apprendre à le connaître sa me ferait quelqu'un a qui parlé, et je ne refuse pas de me faire des amis, même si j'ai une préférence pour la solitude.
J'avais un peu froid vêtu comme je l'étais mais sa allait, sa ne me dérangeais pas tant que sa, Fitz ce moqua d'ailleurs amicalement de moi, ce qui me fis sourire.
Il me demanda ensuite ce que je faisais toute seule. C'est vraie que la plupart des filles sortent entre copines, pour faire tous un tas de choses ridicule et superficielle, elles s'achètent des vêtements, en matant tous les mecs qui passe par là et riant comme des bécasses. C'est peut-être un peu exagérer je l'avoue, mais bon moi j'aime pas faire ce genre de chose. De toute façon, je n'ai pas vraiment besoin de nouveau habit, et encore moins de rire en voyant un gars, déjà que je ne le fais pas habituellement maintenant que j'ai Kaï, je le ferais encore moins. J'aime mieux resté dans mon coin a rêvasser, ou simplement regarder le paysage, des choses simple. Je suis peut-être bizarre, ou juste différente, je ne sais pas, mais sa me plais de ne pas faire comme les autres, d'être libre de faire ce que je veux, peu importe ce quand pense les autres, et s'ils me critiquent.

- Et bien je ne suis pas une fille comme les autres, j'aime mieux être toute seule. Sinon je ne faisais rien de bien intéressent.

Et puis d'abord pourquoi il n'y auraient que les filles qui n'ont pas l'habitude d'être seule, les garçons aussi, ils préfèrent généralement être entre copains pour joué au foot ou tous autres activités, c'est d'ailleurs exactement le genre de gars que je n'aime pas. La plupart des beaux mecs préfère être entouré de filles plutôt que de ce promené seul comme le faisait Fitz - et Kaï - car il faut l'avoué Fitz n'est pas vilain. Comme sa n'avait pas l'air d'être le style de Fitz, nous allions donc certainement bien nous entendre.

- Et que fais un beau jeune homme tous seul ?

Dis-je en souriant, avant de rougir en me rendant compte de ce que je venais de dire. .

J’aimais être seule mais avoir un peu de compagnie ne me gênait jamais, je ne suis pas non plus coupée du monde. Même si j’aime la solitude, je ne suis pas asociale pour autant, sa me faisais plaisir que le jeune soit là. Il a vu mon malaise quand j’ai fais sous entendre qu’il était beau, je n’avais pas vraiment faire exprès, il me dit donc pour me répondre que j’étais jolie. Je souris, et rougis encore un peu, mais me calma assez vite.

Puis je sentis que Fitz n’était plus vraiment avec moi, il était partis dans ces pensés en regardant au loin sans faire attention à moi. Ce qui ne me dérangea pas car j’avais l’habitude de faire sa, c’était même assez courant.
Après quelques instants, il ce reprit et s’excusa, mais il n’y avait pas de quoi. C’est vrai que c’était l’avantage d’être seule, personne pour nous dire où aller, que faire, quand rentré, on est notre propre chef, on fait ce que l’on veut, et sa c’est vraiment bien. Je n’aime pas qu’on me dise ce que je dois faire, c’est peut-être d’ailleurs pour sa que je préfère être seule, mais aussi parce que j’ai la fâcheuse habitude, de faire confiance rapidement au gens et de me prendre un coup dans le dos après. C’est pour sa que maintenant je sélectionne mes amis, et ne fait confiance que si je suis vraiment sûr de la personne, je ne raconte pas ma vie à n’importe qui.

« C’est pas grave. J’aime aussi être seule, mais sa me fait plaisir que tu sois là »

Lui répondis-je en souriant.
Il me tendit ensuite une moitié de pomme, que je saisis en le remerciant. Je croquai ensuite dedans en l’écoutant me dire qu’il pensait qu’un mauvais coup ce préparait a Tahama. Que c’était trop calme, et que sa ne durerait pas. Je n’avais pas vraiment remarqué à vrai dire, mais c’est vrai quand y repensant c’est louche, je me demandai bien ce qu’il pourrait ce passer. Une attaque des " vrais humain " ? Je ne sais pas, j’espère qu’il n’arrivera rien de grave, car je ne pourrais pas perdre encore une fois quelqu’un de proche, si sa devait arrivé je ne resterais pas s'en rien faire cette fois.

« Non je ne pense pas que tu sois fou. C’est vrai qu’un coté, c’est drôlement calme en ce moment, et je viens juste de m’en apercevoir, j’espère qu’il ne va rien ce passer de grave »

Lui dis-je en finissant mon morceau de pomme.
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||dsl pour le retard j'ai pas eu trop de temps||.

Zaphira était calme et appréciait la compagnie de l'adolescent. Il se senti alors plus à l'aise et croqua à pleine dent dans sa pomme tout en regardant la jeune fille dans les yeux écoutant ce qu'elle disait. Elle ne le prennait pas pour un fou. Elle le disait peut etre pour le mettre à l'aise, mais il avait plutôt l'impression qu'elle était sincère. Fitz aimait les personnes qui n'avait pas peur de caché la vérité aux autres quelque soit la raison. Il était content qu'elle ne le prenne pas pour un fou. Il la regarda, elle était belle, les yeux rayonnant, les cheveux brillant au soleil et un sourir éclatant. Elle avala le dernier morceau de pomme après avoir fini sa phrase.

"Oui j'espère aussi" soupira-t-il

Il avait l'impression d'être ennuyant même si elle ne semblait pas bien compliqué à satisfaire pas comme d'autres. Mais bon, même si on était pas compliqué il y avait des limites et ce silence mettait mal à l'aise Fitz qui jouait avec une brindille. La dernière fois qu'il avait été avec Isac et Camille tous les deux parlaient en rigolant. Fitz suivait à moitié leur conversation, s'occupant du feu et de la nourriture. Après tout les conversations entre amoureux n'étaient jamais les meilleurs Mais il se souvient que après avoir mangé un bon poulet rôtis ils s'étaient regardé les mains pour lire les lignes de la vie. Les filles aimaient beaucoup faire ça avait-elle dit. Alors tous les deux analisaient leur mains avant de replongé dans des fous rire.

"Je vais te montrer quelques chose"

Dit-il avec un sourir en se tournant vers Zaphira. Il lui pris délicatement sa main et la retourna de façon à se que sa paume soit découverte. Il la tenait dans la main gauche pour lui montrer avec sa main droite. Il se rapprocha d'elle pour éviter de la tirer ou qu'elle soit dans une mauvaise posture.

"C'est des amis qui m'ont appris à lire les lignes de la vie. Je sais pas si tu connais. Je vais te montrer" dit-il doucement, "tu vois il y a trois trait sur ta main, et chacun représente quelque chose. Le premier trait représente la richesse" dit-il en suivant avec son doigt la "fissure" qui sesituait vers les long doigts de la jeune femme. "On dirais que tu seras riche, enfin ni pauvre ni riche mais plus riche que pauvre. Et celle-ci (dit-il en montrant celle du bas) représente ton existance. Le temps que tu pourras passer ici. Elle est plutôt longue et dépasse même la fin du pousse, tu auras donc une très longue vie bien rempllit. Par contre celle du milieu je sais plus ce qu'elle veut dire....."

Il réfliéchit un instant essayant de se remémoré ce que lui avait appris Camille à se sujet. Mais impossible, rien ne voulait remonter à la surface. Bon, tant pis. Il regarda à nouveau la main de Zaphira avant d'annoncer d'un ton joyeux .

"Ha bah c'est plutôt bien tout ca ! Tu auras une longue vie bien rempli et assez d'argent pour te faire plaisir ! Après je sais pas si c'est vrai ou non".

Le soleil venait de se lever, la journée sera surement lumineuse, un bon début de journée pour d'autre, un absolument énervant pour moi. De voir tous ces gens heureux à cause du simple fait qu'un peut de chaleur vienne se languir sur leurs bras, leurs épaules, leurs omoplates, leurs visage... Non, tout cela n'est que dégout pour moi. Comme un peu tous les jours, ma journée se résumera à regarder les gens, et aller au bar, à côté de ces gros tas de graisses imbibés d'alcool à pas cher parlaient de leurs boulots minables. Mais pas aujourd'hui. Aujourd'hui, il fait trop beau, et en ces jours, regarder la niaiserie de ces gens me donnerai le nausée, et aller au bar serait encore plus risqué. Être entouré de toutes ces personnes nageant dans leurs sueurs, dans un lieu où la seul chose qui fait respirer la pièce est un ventilateur qui ne fait plus grand vent, ce dernier ne pouvant pas passer à travers la crasse. Très peu pour moi.

Je repensa à cette époque, où je vivais dans une petite bourgade, isolé de tout, à part de ces bâtiments noir, de ces ombres cinglantes, et de ces gens méfiants ou trop riche. Je me rappelle que lorsque j'y allais, c'était comme voir un vieux film d’horreur, donc les seules couleurs sont le noir et blanc, et où c'était moi le héros. Celui qui est tourmenté jusqu'à la fin, pour enfin être tué à coup de hache. Enfin, c'est l'impression que cette sordide cité donne. La dernière fois que j'y suis allé, j'avais quinze, et je me rappelle parfaitement de cette univers que j'ai tout de suite apprécié. J'ai aimé ce côté sombre, aussi sombre que mon cœur, qui te dis que tout peut arrivé, même le pire. Surtout le pire. J'espère un jour pouvoir emmener Zafira là-bas.

Zafira... Que pouvais-t-elle faire en ce moment ? Question que tout les jeunes amoureux se posent lorsque leur tendre moitié n'est pas avec eux, et lorsqu'il se languit de sa douce présence. Je déteste ces couples qu'y ne peuvent plus se lâcher, et j'ai peur de devenir comme eux. Je me pose les mêmes questions niaises qu'eux. Est-ce ça l'amour ? Cette chose qui en tant que spectateur paraît être totalement artificiel et cliché, et qui en tant qu'acteur est magique, et obsédant. Tellement obsédant qu'il devrait y avoir des hôpitaux pour Personnes Follement Amoureuses qui on besoin d'être soignées. Elle m'a changé, je ne suis plus le même homme. Phrase cliché, certes, mais j'ai le regrée de dire que c'est bel et bien vrai. Cette envie de toujours vouloir être au près de son âme sœur, de la touché, et de l'embrasser.

Je voulais la voir, et par élimination, je choisis de commencer ma recherche à la cascade dorée. Je ne voulais pas me transformer, même pour la route. Je faisais tâche dans ce paysage au mélange des couleurs rouges, oranges et jaunes. Je marchais pour allait nulle part, je ne pense pas qu'elle soit ici. Je me préparait à partir, quand j'entendis des voix. Je reconnu celle de Zafira, ce qui me fit sourire, mais la deuxième voix était grave, c'était celle d'un homme, et ils devaient se connaître. Il y avait peu de discussion, mais ils semblaient très bien s'entendre. J'avais un peu honte de moi, à les guetter comme un vautour tourne autour de sa proie. Mais je suis amoureux, je pense que c'est une bonne raison. L'homme, plutôt beau, s'approcha d'elle, se baissait pour atteindre sa taille ( elle était assise ), et lui prit la main. Je ne comprenais pas. Ils riaient, et se regardant les mains. Elle à peut-être besoin d'un homme qui puisse la faire rire, ce qu'elle ne peut pas faire avec moi. C'est alors que je sortis de derrière mon arbre, comme si je semblait fraichement arrivé.

«_ J'espère que je ne vous gène pas trop ? » Dis-je, d'un calme oppressant.

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Quel grossier personnage ! Mais d'un côté, il me faisait rire. Quelle homme arrogant ! Que peut bien lui trouver Zafira ?! Je posa mon regard sur lui, puis sur elle. Elle rougis, mais ne dis rien, peut être par embarras. Je regarda de nouveau le jeune homme qui tenais compagnie à ma douce. Celui ci faisait approximativement ma taille, il mesurait donc dans les un mètre quatre-vingt. Il était blond, et ses yeux ne fixais que les miens. Je savais que mon regard piqué la curiosité des passants, mais je ne me doutais pas à ce point. Je ne voulais pas me montrer trop embêtant, et je n'aime pas me même trop en avant. Même si nous n'étions que trois ici et à l'instant même. Je m'avança tranquillement vers eux, je n'étais pas tellement jaloux, plutôt vexé. Vexé d'être de trop, et cette situation me rappela vaguement mes années d'études, et donc, de malheur ( qui c'est fini dans un meurtre, souvenez vous ! )
J’allai voir Zafira, l'embrassa fougueusement ( pour rendre jaloux l'autre, comprenez le ! ) pour lui dire bonjour. Je regarda l'autre homme d'un œil mauvais. Oh, j'espère bien que maintenant, c'est lui qui se sent de trop ! Je sais bien que mon attitude est des plus puéril, pourtant, je trouvais ça plutôt amusant, et jamais je ne laisserai Zaf' partir avec lui sous mes yeux, je ne supporterai pas de perdre une nouvelle fois la personne la plus importante à mes yeux. Je risque de sombrai du côté obscur de la force.

« Eh bien ! Je me fiche bien de savoir si je vous gène, finalement. Je suis bien ici, et vais prendre par à votre discussion, n'est-ce-pas ? J’appuyai fortement sur le N de cette expression. De quoi parliez vous avant que j'arrive ? Vu votre tête d'illuminé, monsieur, je dois deviné que la conversation devez être fort plaisante ! »

Je devinai bien que ce fut la compagnie de ma compagne qui le rendait heureux jusqu'à en sourire jusqu'au dent, j'avais aussi évidemment remarqué ce sourire disparaître dès que le son de ma voix arriva jusqu'à leurs oreilles. Oh oui, je l'avait gêné, je l'ai remarquablement vu, mais de plus, ça me rendait l'homme le plus heureux de la planète. De voir cet idiot resté bouche bée en me voyant arrivé, puis ce raviser, pour me dire des choses pour le moins grotesque. Cette personne ne valait pas grand chose, et je ne cherchais pas à connaître son nom. Pour moi, il est l'autre.
Il paraît que lorsque je suis en colère, je fais peur, que j'ai une tête de tueur en série. Peut être allait-il voir cette expression sur mon visage au moins une fois dans sa vie...

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[ Vraiment désoler du retard ]

Je finissais de croquer dans ma pomme tendis que Fitz voulu me montrer quelque chose, j’étais assez surprise et impatiente de voir ce qu’allait me montrer mon nouvel ami. Car je pense que nous l’étions maintenant, le courant était bien passé entre nous et il était vraiment sympa donc pourquoi une amitié ne pourrait-elle pas naître entre nous ? Il ce rapprocha timidement de moi avant de me prendre la main, il la retourna dans la sienne, tous en faisant courir ses doigts sur celle-ci. Je frissonnai n’ayant pas vraiment l’habitude des contacts physiques et je dois avoué que sa me faisais de petites chatouilles assez agréable. Je riais doucement tandis qu’il me montrait ce que représentais chaque ligne et ce qu’elle indiquait pour moi. L’argent je m’en moquais un peu, même si c’était toujours mieux dans avoir que d’être pauvre, mais la richesse sociales et tout de même plus importante. Puis il m’annonça que j’aurais une longue vie bien remplis, mais ne précisa pas si elle serait heureuse ou non, en tous cas si elle devait être heureuse, elle commençait plutôt mal ma vie. Et si je devais avoir une longue vie remplis de malheur je n’en voyais pas l’intérêt.

Je perdis mon sourire quelques instants en repensant à toutes c’est mauvaises choses qui c’était emparé de ma vie, je me ressaisis assez vite pour ne pas qu’il s’en aperçoive et lui sourit en entendant sa dernière phrase.

- Oui, mais bon je ne crois pas vraiment à c’est choses là, je n’ai pas vraiment eu beaucoup de bonne chose dans ma vie, mais j’espère que sa changera.

Je lui fis un petit sourire en coin, je reportais ensuite mon attention sur sa main qui tenait toujours la mienne, il passait de temps à autres ses doigts sur ma main, je trouvais ce geste un peu déplacer mais ne relevais pas. Je riais ensuite pour casser le silence qui c’était installé et pris sa main et la retourna pour voir sa paume.

- Allez à ton tour, voyons comment va être ta vie !

Puis des pas ce firent entendre, ainsi qu’une voix que j’aurais pus reconnaître entre mille, je n’avais pas besoin de lever la tête pour savoir de qui il s’agissait, sa simple présence le disait. Je lâcha aussitôt la main de Fitz et perdis mon sourire, voyant que la situation était quelques peu « bizarre ».

Je relevai finalement la tête vers l’homme qui venait de faire son apparition et murmurait :

- Kaï..

Avec une intonation de surprise, de joie et d’embarras, car la position dans laquelle j’étais avec Fitz, me mettait mal à l’aise, alors que je n’avais rien fait de mal et Kaï n’était pas un homme jaloux ! La voix de mon ami ce fit entendre après qu’il ce soit lever, il ne devrait pas chercher Kaï, car si celui-ci est en colère, je ne voulais imaginer ce qu’il pourrait ce passer. Et puis Kaï n’avait pas à être jaloux, il est l’homme que j’aime et sa plus que tout, jamais je ne lui ferais du mal, et je ne voulais personne d’autre que lui. Non c’était vraiment impossible que Kaï soit jaloux. Mais j’aimais bien Fitz, en amitié bien sûr, et je ne voulais pas qu’ils ce disputent tous les deux. L’homme que j’aimais regardai Fitz d’un regard froid (bien qu’un peu amusé) que celui-ci lui rendait bien.

Kaï s’approcha ensuite de moi et m’embrassa, j'appréciais ce baiser, comme à chaque fois, mais je sentais bien que ce n'étais pas simplement pour me dire bonjour. Kaï ce recula ensuite et je me levai, je regardais les deux jeunes hommes qui ce disputait (pour moi ?). Cet fois ce fus Kaï qui le cherchait et j’aimais vraiment pas sa, je pris donc la parole, ne laissant pas Fitz répondre avant :

- Bon sa suffit vous deux !

Criais-je presque et je repris aussitôt :

- Arrête Kaï s’il te plait

Dis-je d’une voix plus douce, en lui prenant la main, et il se retourna. J’espérais vraiment ne pas l’énerver, parce que j’étais tout de même contente de le voir, mon cœur ce mettait à battre à cent à l’heure à chaque fois que je le voyais, je ne voudrais pour rien au monde me disputer avec lui. Surtout pas pour un truc comme sa..