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 Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ]

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Zafira A. Spencer

Zafira A. Spencer

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Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ] _
MessageSujet: Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ]   Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ] I_icon_minitimeJeu 3 Nov - 23:24

Can you hear when I say; I have never felt this way ...
feat Kai A. Völger
Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ] 111103055214308994
Aujourd’hui le soleil était absent tous comme mon moral. Je me souviendrais toujours de ce jour, il y a 4 ans … Le jour où toute ma vie est partie en fumée et que j’ai tous perdue, le jour où les êtres qui comptaient le plus pour moi, s’en sont allés. Jamais je ne pourrais l’oublié …

Chaque année ce même jour, je ressasse mes bons moments avec eux, jusqu’a en arrivé au jour où ils sont partis. C’est toujours un déchirement de repenser a ça, de savoir que je ne les reverrais jamais, ils me manquent terriblement. Je n’allais pas contourner cette « tradition », j’allais donc restés toute la journée dans mon lit, à pleurer jusqu'à ce que je ne puisse plus. Sa à beau faire 4 ans, c’est comme si c’était hier. Même si j’y pense tous les jours, ce jour en particulier sa me fait encore plus mal, comme si je revivais tous ce qu’il c’était passé.

La journée passa assez lentement, j’essayai de ne pas pleurer, même si mes larmes étaient là, elles ne coulaient pas. J’étais là dans mon lit, à regardé le ciel nuageux a travers la fenêtre, repensant a tous les bons souvenirs, que je tentais de ne pas oublié, mais à chaque fois tous part en morceau quand l’heure de leurs fins arrive. Je me souviendrais toujours du dernier anniversaire de mon frère, maman et moi lui avions fait un gâteau au chocolat et aux fraises, celui qu’il préférait. Le soir venue, les cadeaux et le gâteau ce trouvait sur la table, Shiloh entra est souffla c’est bougies. Une fois les bougies du gâteau enlevés, mon frère ce pencha pour sentir le gâteau et vérifier que c’était celui qu’il aimait. Papa qui arrivait derrière lui, lui enfonça la tête dans son gâteau. Un fou rire, c’était emparés de nous, c’était merveilleux.
En repensant a cette anecdote, je ne pus m’empêcher sourire en repensant au visage de mon frère plein de chocolat et de fraises.

Je décidai d’aller prendre une douche rapidement, et de m’habiller, sans prendre grand soins des habits que j’allais mettre. Je sortis alors lacement de mon lit avant de rejoindre la salle de bain, je me regardais dans le miroir avant d’aller sous la douche, j’avais vraiment une mine affreuse. Cinq minutes plus tard, je sortis de celle-ci, me séchai avant d’aller prendre un jean et un débardeur et de les enfiler. Je ne me maquillai pas, et je ne me lissais pas les cheveux non plus. Je retournai alors dans ma chambre et me rallongea sur mon lit. Quelques instants plus tard, ma tante entra dans ma chambre – sans frapper – et me dit en colère :

- Bon c’est quand que tu sors de ton lit ? Il faut que tu range ta chambre ! Sa ne sers a rien de faire sa, sa ne changera rien et tu le sais …
- Bien sur que je le sais ! Mais j’ai pas le droit d’être tranquille un jour ! Un seul !
- Je comprend que tu n’aille pas bien, mais il faut que tu sortes et que tu arrête de pensé à sa
- Je fais ce que je veux après tous

Au bord des larmes, j’étais maintenant assise, en colère et triste en même temps, face à ma tante qui n’avait pas l’air de comprendre ce que j’avais. Elle avait perdue sa sœur, donc elle devait me comprendre, je ne sais vraiment pas pourquoi elle était comme sa avec moi là ! La tristesse la rendait peut-être triste, ce que je comprenais mais pas besoin de s’énerver sur moi, je n’y suis pour rien. J’avais envie de prendre l’air, même s’il faisait nuit et qu’il pleuvait je devais sortir, marcher, marcher jusqu'à avoir aux jambes, marcher jusqu’au moment où je saurais qu’il faudrait que j’arrête.

- Tu veux que je sorte ? D’accord, j’y vais.

Je pris mes baskets, que j’enfilai vite fait, attrapa ma veste, et descendit les escaliers à toute allures, avant de claqué la porte, une fois que je l’ai passé.

Je ne sais pas où je vais, mais j’ai simplement envie de marcher, de ne pensé a rien, ni a personne. La pluie dégoulinait sur mes cheveux puis sur mon visage, il faisait nuit, et la lune n’éclairait presque pas, seul la lueur des lampadaires guidait mon chemin.
Je ne pleurais pas même si je n’en étais pas loin, les mains dans les poches, trempées, je marchais.

Une heure plus tard à peu près, je sentis dans ma poche que j’avais mon portable, j’avais envie de voire une personne et une seule. Je lui envoyai alors un cours message, lui disant de me retrouvé au ruines des temps, je ne voulais pas le déranger mais j’avais besoin de lui. Les ruines c’est là où je me trouvais en ce moment, je ne sais pas vraiment comment j’y étais arrivé, mais pourtant j’étais là. Je m’asseyais sur une des pierres, contemplant la vue qui s’offrait a moi. J’étais mouillée jusqu’au os, mes cheveux avaient bouclés a cause la pluie, je devais avoir une tête de zombies, je devais être juste horrible mais je m’en foutais un peu à vraie dire. J’entendis des bruits de pas, je me retourna et vis une ombre s’approcher de moi. Je me relevai alors et m’approchais de lui :

- Kaï …

Murmurais-je.
Je ne pus pas me retenir plus longtemps, et alla dans c’est bras, et versa toutes les larmes que j’avais retenue depuis le début de la journée.
.
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Kai E. Völger

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Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ] _
MessageSujet: Re: Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ]   Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ] I_icon_minitimeSam 5 Nov - 20:46


Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ] 1135181539



Le soleil caché sous d'épais nuages, la pénombre avait engloutit toute la banlieue, pourtant, je me baladais tranquillement dans l'une des nombreuses rues d'Eihwaz. N'ayant pas de lieux précis où aller, je m'assis sur un banc crasseux. Tout démontré que nous étions en aucun cas, en début d'après midi, c'est comme si le soleil ne c'était pas levé, tout était sombre, et semblait n'être quand noir et blanc. Le sol pavé était des plus sales. Cette ville est clairement tout le contraire de celle des monarchistes, Nahadra. Je dois avoué que j'ai un penchant pour les grandes villes lugubres, aux allures de grande scène de crime. J'aime ce côté qui prouve que tout peut arrivé. Tout. Surtout le pire. Que rien n'est irrémédiable, et que tout s'oublie. Même les meilleurs moments ont un goût acide qui vous reste en travers de la gorge. Surtout les meilleurs moments. Les pires vous reste eux, à jamais dans vos pensé, et vous hante pour le restant de votre misérable vie.

Une image de Zafira passa aussi vite dans mes pensés, qu'elle repartit. Je l'aimais, c'était une évidence. Mais pourrais-je lui suffire ? Ne partirait elle pas pour mieux ? J'avoue que ça ne étonnerait que fort guère. Je ne la mérite pas, mais elle ne veut que moi, j'ai du mal à comprendre. Quant à moi, je ne pense qu'à elle, elle est omniprésente. Je lui est offert mon cœur, et j'espère juste qu'elle ne le jètera pas dans une poubelle comme une vieille chaussette miteuse et trouée qu'elle à trouvée dans le fond de son tiroir. Ce n'est pas son genre, mais espérons le tout de même.

Au coin de la rue, je vis deux jeunes brigands, âgés de pas plus de 15 et 17 ans. Ils portaient tout deux une chemises blanches, et un jeans bleu délavé. Ils n'ont sans doute commis encore aucun crime capable d'être punis. C'est normal, ils sont jeune. Peu, pour ne pas dire personne, sa baladant dans ses banlieues sales, n'ont jamais rien commis d’illégal. Allant de la simple arnaque, aux meurtres les plus sanglant. J'ai déjà tué quelqu'un, ce que j'ai bien épargné de dire à Zafira. Cet homme s'appelait Johnny Parker, un vrai connard. Il m'a gâché mes années de scolarité, disant divers rumeurs à mon égard, la plus part sortit tout droit de son imagination. Je le détesté. Je ne souriais jamais, sauf quand ça pouvait prendre à mon avantage. J'étais ignoré, et préféré cela à être le stéréotype du belle homme plein de muscles qui joue au football américain. Lorsque j'avais 18 ans, et que j'ai quitté le lycée, je n'avais plus qu'une chose en tête, me vengeais de l'homme qui ma pourris la vie durant toutes ces années.

Un soir, alors que Johnny venait tout juste de sortir d'un bar où l'alcool avait coulait à flot. J'étais tapis dans l'obscurité, le fixant du regard, je ne pouvais détaché mon regard de lui, je n'avais pas le droit à l'erreur. Vêtu d'un chapeau haut-de-forme, les yeux noir, un long manteau noir et de lourde botte en caoutchouc également noir, je le suivais discrètement. Certains de mes pas, plus lourd que d'autre, résonné dans les rues sombres et mouillées d'Eihwaz. La peur commença à l'envahir peu à peu, décuplant ce plaisir cruelle en moi de lui faire du mal. Il était là, juste en face de moi, bloqué par la peur, et la sueur lui coulant le long de son front qui brillait. Seul un lampadaire ayant probablement vu beaucoup de chose, éclairait la scène. Alors qu'il était dos à moi, je marcha d'un pas vif vers lui, le visage caché par mon chapeau et mon manteau, et par la nuit. Seul mes yeux brillaient d'une envie de vengeance. Lorsqu'il se retourna, et qu'il me vit, un cri lui échappa, rapidement masqué par ma main. Il tourna la tête vers moi, et vis rapidement de qui il s'agissait, il vit également le couteau que je tenais dans la main.
« Kai... », murmura t'il.
Je ne lui laissa pas le temps dans dire plus, de me supplier. Je lui trancha la gorge. Le sang giclait. Et après quelques tremblement, il s'écroula au sol, mort. Le lendemain, son corps fut retrouvait, mais aucune enquête ne fut poussé. C'était mon premier crime, je n'en n'ai jamais fais d'autre jusque là.

Mon portable vibra, me sortant de mes pensés. C'était Zafira, me demandant de la rejoindre au ruines des temps. Je secoua vivement ma tête, comme pour chasser l'image de ce meurtre, et me leva. La nuit commençait déjà à tomber. Combien de temps ais-je passé à penser ?! Je ne serais le dire. Après environ une heure de chemin, j'aperçu une tache sombre assis sur un rocher, sous la pluie. A peine m'a t'elle remarqué, qu'elle se jeta sur moi, en pleure. Je le sera fort dans mes bras. Regardant ce paysage d'arbre mort, qui semble appartenir au passé, le regard triste, ou bien nostalgique. Je pris son menton entre mes mains usés, et regarda ses larmes coulaient. Je posa délicatement mes lèvres sur les siennes.
« Que t'arrive t'il, ma belle ? », lui demandais-je, une fois nos deux visages séparés.
Je ne supporte pas de la voir triste. Si une personne lui à fait du mal, je n'hésiterais pas à lui faire regretter sur erreur.

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Zafira A. Spencer

Zafira A. Spencer

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MessageSujet: Re: Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ]   Can you hear when I say; I have never felt this way ... [ feat Kaï ♥ ] I_icon_minitimeDim 6 Nov - 1:08

Can you hear when I say; I have never felt this way ...
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A peine était-il arrivé que je m’étais jeté dans c’est bras, pleurant toutes les larmes de mon corps, sa faisait du bien, même si sa n’arrangerait rien. Sentir son corps contre le mien me faisais un bien fou. De savoir qu’il était venu me faisait vraiment plaisir, c’était bien une des seul personne que je voulais voir dans c’est moments là. Je n’étais vraiment pas sûr qu’il viendrait, il était tard après tout et il pleuvait. Je regrettais un peu de l’avoir appelé car je l’avais peut-être déranger et tous sa pour être dans c’est bras et pleurer. Mais j’avais besoin de lui, je ne sais pas pourquoi, il ne parlait pas, moi non plus, mais rien que le fait qu’il soit ici me réconfortait..

Mais j’avais toujours mal de ce manque constant, qui ce faisait encore plus ressentir ce jour précisément, mes larmes n’arrêtaient pas de couler comme si elles étaient infini. Et puis la dispute avec ma tante n’avait rien arrangé, je me sentais mal d’être partie, c’était un peu de ma faute si cette altercation avait eu lieu, mais je n’y pouvais rien.

Nous restâmes là quelques instants, sans bouger, puis il approcha son visage du mien, pour m’embrasser délicatement. Il faisait froid, il pleuvait toujours et de sentir ces lèvres sur les miennes, me réchauffait et j’oubliais presque le fait que nous étions sous la pluie et que j’étais encore entrain de pleurée. Il me demanda ensuite ce que j’avais. Je le fais venir sans aucune explication, et me dirige directement vers lui en pleurant, je me rendis compte que je ne lui avait même pas dit. Il avait posé c’est mains sur mon visage, et il me regardait droit dans les yeux, je ne savais pas vraiment comment lui dire. Je cherchais mes mots, mais rien que d’y repensé, mes larmes coulaient encore un peu plus. De le dire à voix haute, rendrait les choses encore plus réelle qu’elle ne l’était déjà, sa serait un moyen de le concrétiser encore plus.

J’essayai quand même de me calmé avant de parler, ce qui s’avérait être assez dur, je fermais les yeux quelques instants en ne pensant a rien.

- Mes … sa fait … cherchant mes mots sa fait 4 ans … que mes parents sont morts

Voilà je lui avais dis, c’est comme un poids qui était enfin sortis, il le savait que mes parents étaient morts, car je lui avais dit le jour où nous étions coincés dans cette maisonnette dans la montagne. J’avais enfin cessé de pleuré, même si mon visage était encore mouillés a cause de la pluie.

Je me demande pourquoi les gens partent si tôt, qu'es-ce-que j’avais fais pour mériter un tel malheur ? Si j’avais fais quelques choses de mal, c’était moi qui aurait fallu punir mais pas ma famille. Je m’en veux toujours de ne pas les avoir sauvé, je n’aurais peut-être rien pus faire, mais je n’avais même pas essayé et c’était un peu une façon pour moi de me culpabiliser, vus que je ne les avais pas sauvé, je ne m’autorisais pas à avoir le droit d’être heureuse, alors qu’eux étaient morts. Comme on dit « tous le monde part un jour » c’est bien vrai, mais la plupart des personnes partent beaucoup trop tôt en laissant des personnes derrière eux. Pourquoi je n’étais pas morte moi aussi, ils auraient peut-être mieux fallu, je n’aurais pas autant souffert.

Mais d’un autre coté, je n’aurais pas connu Kaï et tous c’est moments magiques que j’avais passé avec lui. Je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi fort pour quelqu’un, comme s’il avait été envoyé pour me dire de continuer à vivre. J’étais amoureuse de lui, c’était sûr, et je plus le temps passe et plus sa s’intensifie. Les moments de bonheurs comme de tristesse c’est avec lui que je veux les passés et personne d’autre.

Je le regardais à nouveau, il était toujours aussi beau malgré l’eau dégoulinant sur son visage et ces yeux avait toujours cette couleur magnifique. Je posai alors mes mains sur les siennes qui ce trouvait toujours sur mon visage.

Je l’aimais et ça c’est la chose dont j'étais la plus certaine.
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