Le vent s'était levé ce matin faisant vibrer tous les arbres et voler les feuilles non enseveli sous la neige. La tempête frappait fort et dans tous les sens. Cela ne dérangeait aucunement Lueur de Cristal qui avait les poils court. Le temps était en colère tout comme elle. La veille la chatte rousse s'était faite arraché l'oreille par un solitaire et on lui avait empecher de le tuer car il pouvait être utile pour le clan du sang. Cela avait énervé au plus haut point la chatte qui était presque arrivé à son but. Seulement le chat respirait troujours en empoisonnant l'air. Aujourd'hui elle devait se défouler être loin du clan, des territoire, des chats du sang, loin de chez elle. Elle devait s'évader. Pourquoi l'empêchait-on toujours d'aller jusqu'à son but ?

Lueur de Cristal se dirigea vers les terres du vents. Leur terres ? Non les sienne, tout lui appartenait, tout le monde était sous son reigne. Elle faisait ce qu'elle voulait. Elle était une des meilleurs combatants de tous les chats. Elle avait le privilège d'aller ou elle voulait. Celui qui s'opposera à elle mourra. Qu'on la laisse enfin tranquille ! Elle ne demandeais que ça en plus de mettre fin à sa vengeance ! Mais un jour elle pourra mourir tranquillement, une fois que sa mère sera venger. De gentille petite chatte elle est passé à la plus horrible chatte. Aucun chat du clan du sang n'avait fait autant de cruauté qu'elle. La gloire ?! Elle s'en moquait, ce qu'elle voulait c'était TUER ! Rien que cela. Et personne ne l'arrêtera. Une fois que ce sale solitaire aura fait ce boulot elle ira le tuer de ses propres dents ! Le pauvre il se croyait en sécurité. Puis elle le fera souffrir.
Elle ne pensait qu'à la mort, la soufrance, rien d'autre ne comptait. Elle n'aimais pas, ne ressentait rien. Même son chef n'avait pas voulu lui donner d'apprentis à cause de la violence de la chatte rousse. Personne ne la dépassait !

La chatte du clan du sang marchait, le vent s'était enfin calmé et les odeurs parviennent enfin à son museau. Elle sentait, voyait, pensait, rien ne lui échappait. Un merle volait non loin de là. On pouvait entendre ses battement d'ailes, le vent qui s'engouffrait dans celle-ci. Un petit vent faisait bouger les feuilles dont le bruit fut perçut par la guerrière. Elle remarqua plusieurs trace. Elle pensait torture, elle pensait mort, elle pensait tuer ! OUi tuer ! La seule chose qu'elle désirait. Et c'est alors que l'ocasion se présenta ! Un odeur de rongeur vint lui tinter les narines. Le petit mammifère idiot serait bientôt déchiqueté et sa viande abandonné aux corbeau ! Oui elle allait se défouler sur le rongeur !

Lueur de Cristal s'applatit sur le sol. Sa queue ne bougeait que pour lui donner son équilibre. Ses moustaches sentaient le terrains, ses yeux observait la scène sans y voir la musaraine, mais elle savait où celle-ci se trouvait exactement. Et ses oreilles écoutaient. Elles écoutait le minuscule coeur de la proie, il battait vite. Elle pensa, il était poursuivit. Elle senti, un chaton mâle petit courrait derrière elle. Les pattes martellait la neige, les griffes la griffait. La neige volait dans tous les sens, la souris saignait, Lueur de Cristal le sentait. Elle voulait échapper à son prédateur. Lui la voulait. Et elle la voulait. Le chaton débile ne l'aura pas ! S'il la touchait il était mort, même s'il l'avait déjà fait.
La souris courait, zigzaguait, sautait, s'élançait....et se rapprochait de plus en plus de la chasseuse. Celle qui allait la déchiqueter. Puis le chaton viendra vers elle grâce à la souris. Finalement elle n'était pas si bête. Peut-être qu'elle ne la déchiquetera pas trop pour la remercier. Mais Lueur de Cristal ne connaissait pas ce mot. Elle n'avait aucune pitier. La musaraigne courrait toujours, son coeur battait encore très vite. Le chaton avait le coeur qui battait vite. Il était exité, il rspirait vite, il s'épuisait. La proie avait encore de l'air pour courrir, le chaton n'en aurait bientôt plus. Elle entendait les couinement plaintif de la proie qui ne servait à rien. La chatte sanguinaire sentait l'odeur de plus en plus forte. Elle prépara ses postérieur à l'assaut, le chaton courrait vite, il serrait bientôt à sa porté lui aussi. La souris bascula sur le coté se reprit, continua sa course folle qui était perdu d'avance et tou d'un coup des croc aussi pointu que des couteaux sortir de derrière un rocher et se refermèrent sur la proie qui n'avait même pas eu le temps de toucher le sol. Lueur de Cristal se rattrapa et fit voler de la neige, le chaton était devant elle, il s'était arrêter et semblait terrifié. La féline fit un demi tour, se posta devant le chaton, qui était noir au yeux jaunes. Un chaton des forêt, un chaton qui n'avait rien à faire ici, un chaton du tonnerre qui se trouvait dans le clan de la rivière. Bientôt il sera éparpiller sur le sol.
Lueur de Cristal était impréssionnante, son oreille déchiqueter filtra la lumière qui éclaira le minable chaton devant elle. Elle le regarda d'un oeil sévère.
Lueur de Cristal déchiqueta la musaraigne qu'elle lançait ensuite plus loin. Du sang maculait son visage et coulait sur le sol blanc pur. Maintenant il était impur, il représentait la mort. Un lieu de mort ! Et tout le monde n'y était pas passé ! La chatte rousse adorait faire peur, elle ne le turerais pas tout de suite. Mais après, un peu plus tard. Celui-là ne pourra pas lui échapper. Il n'était pas utile au clan du sang. Elle avait le droit de le tuer. Elle tourna autour du chaton qui ne bougea pas. Puis elle se stopa devant lui, elle était imposante. On aurait dit le démon incarné. Elle montra ses crocs et lui cracha à la figure.

"- Qu'ai-je là ? Un petit minable du clan du tonnerre qui est dans le clan de la rivière. Mais c'est que l'on écoute pas ses mentors. Mais ce n'est pas bien du tout moucheron."


Lueur de Cristal fit passer sa queue sou le cou du chaton avant de poursuivre son discrout.

"- Bientôt tu sera comme la musaraigne. Et tes amis penseront que ce sont les chats du clan de la rivière qui t'auront déchiqueter. Une bataille aura donc lieu entre vous. Mais pendant ce temps t'inquète pas je ferais rien à ta minable famille. Je la laisserais mourrir sous les crocs de tes chers amis du clan ennemis. Moi que ferais-je ? Je pense que j'attaquerais le clan de l'ombre pendant ce temps. Oui très bonne idée. Depuis le temps, la vengeance sonera enfin. Et je serais enfin débarrasser de mon fardot"

Lueur de Cristal regarda le paysage, le paysage qui dénoncera un crime et qui provoquera une guerre. Sauf si ce minable n'interressait pas le clan du tonnerre. Cela serait dommage. Un petit vent se fit sentir et la fourure des deux chats s'ébourrifièrent. Elle s'approcha de sa nouvelle proie en grognant. Elle se sera peut-être assez défouler. Et ce Coeur de Plume qui voulait la liberté ! A cause de lui un chaton innocent allait mourrir et finir mangé par les corbeau. Lueur de Cristal se mit en position de chasse, tourna, grogne, cracha, senti. Senti la peur qu'éprouvait le chaton. Regarda. Regarda les yeux qui montra sa peur et sa crainte. Et enfin elle écouta le petit coeur tout neuf, le petit coeur qui allait bientôt arrêter ce travail pénible qui allait s'arrêté à tout jamais. Ce coeur qui ne marchera plus, qui ne battera plus. Bientôt Lueur de Cristal ne l'entendra plus. A ce moment là elle se sera défoulé, peut-être pas assez, mais elle sera heureuse....

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Un combat avait eu lieu il y a quelques jours. Il avait été rude, mais tous s'en sortir. Tous sauf un. Tous sauf Coeur de Foudre, le lieutenant du clan de l'Aube. Le fière et puissant guerrier avait mis fin à ses jours. Jamais Croc de Renard n'avait cru possible cela. Mais maintenant la vie devait continuer avec ou sans Coeur de Foudre.


Le clan était de plus en plus triste. Eclat de Miel sortait peu, et mangeait rarement. Elle disait réfléchir à un nouveau lieutenant. Tout le monde la laissèrent tranquille, même Aile de Faucon, son compagnon. Cette chatte savait se faire obéir. Et aujourd'hui tous les félins étaient réunis devant le rocher noir où dessus une chatte majestueuse y monta en sondant la foule du regard.
Chatons, apprentis et guerriers étaient tous réunis. La guérisseuse Feuille du Soir n'était pas loin. Croc de Renard regardait la scène à l'ombre d'un chêne. Il était assis la queue enroulé autour de ses pattes. Seul, il regardait Eclat de Miel qui avait beaucoup de difficulté à oublier la mort de son ami. Il était triste pour elle, mais aussi pour lui. Seulement celle-ci avait été très proche. Personne ne parlais, certains baissaient la tête et d'autres, comme le matou roux, regardait leur meneuse.
C'est alors que le regard d'Eclat de Miel se posa sur Croc de Renard. Il le soutient sans frémir, qu'allait-elle dire ? Qui avait-elle choisit ? Il lui faisait confiance après tout c'était son amie depuis toujours.

Elle parla alors, ne le lâchant pas du regard. Elle parla d'un ton sans tristesse, Eclat de Miel arrivait à contrôler ses sentiments devant les assemblées, une excellente qualité. Elle commença à parler de leur lieutenant défunt. Puis elle continua en parlant des chats du clan de l'Aube, en leur faisant des compliments. Croc de Renard redressa les oreilles lorsqu'il entendit son nom sortir de la bouche de son amie comme une longue plainte dans la nuit. Elle avait choisit son lieutenant : Lui, Croc de Renard ! Pourquoi lui ? Elle pensait qu'il accomplirais à merveille le rang de lieutenant. Jamais il ne la décevrais il en ferais le serment ! Lorsqu'il apprit qu'elle l'avait désigné son coeur s'arrêta un instant de battre ainsi que sa respiration. Jamais il n'avait pensé qu'il serait choisit, lui ! Coeur de Foudre le félicitait lui aussi, que devait-il faire ? Il n'en savait rien et décida de rien faire à part obéir à l'ordre de sa meneuse.

Croc de Renard se leva et marcha d'un pas lent vers le rocher noir en regardant les visages des félins de son clan. Il se fit un passage entre eux, il marchait d'une allure fière, surtout pour redonner courage à Eclat de Miel. La tête levé, la queue qui fouettait doucement l'air et les pattes se posant avec délicatesse sur le sol froid du soir. C'est alors qu'il s'arrêta en portant son regard sur son ancien lieutenant. Il prenait maintenant sa place. Il ne le décevra pas. Le félin ferma un moment les yeux puis se détourna pour rejoindre son amie sur son magnifique rocher qui lui donnait encore plus de puissance qu'elle n'en avait.

Lorsqu'il arriva à sa porté il se frotta contre sa joue pour lui redonner confiance et courage avant de s'assoir à coté de celle-ci en s'adressant au clan.

"- Chat du clan de l'Aube, je suis fière de vous, de vos effort et de votre courage. Jamais je n'est vu meilleur esprit que le votre, perceverant, de la joie, de l'amour. C'est pour cela que j'accomplirais mon rôle de lieutenant jusqu'au bout. Je ne veux pas vous décevoir et je le jure de ne jamais le faire. Je mourait s'il le faut ! Mais je vous promet avant tout de veiller sur vous tous du mieux que je peux. J'espère pouvoir réussir à être un bon lieutenant. Je remercie Coeur de Foudre de nous avoir protégé, c'était un vaillant guerrier comme personne ne l'a été et il restera à jamais dans nos coeurs. J'essayerais de faire comme lui. Sachez au moins que je ne vous abandonnerais pas et que vous pouvez me faire confiance."

Croc de Renard parla d'un ton sûr et fort pour que tout le monde puisse l'entendre. Il n'avait plus rien à ajouter. Il regarda Eclat de Miel dans toute sa splendeur, à ce moment là il su que jamais il ne trahiras ce qu'il venait de dire. Le félin recula un peu laissant la place à la meneuse tout en reportant son regard sur les visages tristes des félins. Sera-t-il capable de remplir son rôle comme Eclat de Miel le veut ? Il n'en savait rien mais essayerais. Il était fière d'avoir été choisit, mais surpris. Il ne si était pas attendu et voilà qu'il était lieutenant. Ce mot résonna dans sa tête comme la cloche qui annonce la prière......

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Le ciel était bas et lourd aussi humide qu'un cachot, laissant les être vivants aveugle. Au loin on entendit le chant d'un coq qui s'éteignit ensuite comme englouti par le brouillard. La rosée inondait la flore et aucun animal n'était sorti de son trou. Une chasse était impossible dans c'est temps là sauf si on avait de la chance. Un seul bruit fendit le silence de la mort. Des craquements de feuilles ainsi que des pas sur la terre froide et dure comme de la pierre. Un chat était seul au milieu de ce désert d'être vivant. Son pelage était mouiller par le brouillard et ses yeux avaient de la peine à percer ce ciel. Son odorat ne l'aidait pas beaucoup non plus, pourtant il avait décidé de faire le tour des territoires. Qui était-il ? Quel chat ferais le tour des territoires lors d'un temps pareil ? Croc de Renard, le lieutenant de l'Aube qui pour rien au monde abandonnerais son clan. Même en cas de mauvais temps il faisait le tour des territoires, certains pouvaient en profiter après tout.

Il s'arrêta et huma l'air. Il n'y senti rien, il s'approcha alors d'une fleur qu'il senti à son tour. Il n'y avait aucune odeur suspect non plus. Il continua alors son chemin d'un pas lent, tête baisser pour humer le chemin. Il avait la gueule ouverte pour sentir plus d'odeur encore. Mais rien. Apparemment personne ne venait. Aucun signe suspect le clan semblait donc en sécurité. Le félin couleur feu s'engagea dans un petit trou entre des ronces qui déboucha devant des rails de train. Cet endroit abandonné était le chemin de fer. Auparavant un énorme monstre appelé train y passait mais depuis plus rien. Il passa ses pattes au dessus des barres de métal jusqu'à la nouvelle botte de terre nourrissant de l'herbe verte. Il était arrivé à la frontière. C'est alors que Croc de Renard laissa sa patte en l'air, plié. Ses oreilles étaient tendu vers l'avant, sa gueule ouverte et son nez en marche. Il ne bougeait plus, une odeur suspecte était là. Quelque part vers lui. Qui était-elle ? C'est alors que parti la brume il distingua une forme de félin. Un chat ennemis s'approchait de lui. Et plus précisement un chat du crépuscule. Clan réputé sans cpeur et sadique.

Les poils du félin s'hérissèrent, il grognant en montrant ses crocs, sa queueu ne bougeait plus mais était énorme, et sa patte était de nouveau sur le sol. L'autre chat ne semblait pas vouloir s'arrêter. Qui était-il ? Que voulait-il ? Peut-être avait-il rammené de la compagnie.

"- Que fais-tu là ?! Tu n'en as pas l'autorisation, repars d'où tu viens et je ne te ferais pas d'histoire."

Il parla d'un ton autoritaire, et grogna. L'intrus n'était pas le bienvenu...

Petit Renard regarda sa meneuse monter sur le rocher, on voyais sa fierté et sa puissance. Le chaton était fière d'Etoile d'Ambre même si son comportement avait bizarrement changé ces dernier temps. La foule se tu et la réunion pu enfin commencé, si on pouvait appelé cela comme ça. Lorsque la chatte blanche prononça les terrible parole, le chaton s'en voulu de ne pas être arrivé en retard. Coeur de Plume était une très gentille guerrière même si elle était la mère de ses ennemi. Sa mort lui avait fait de la peine, quand à sa fille il ne la connaissait pas. Une larme coula le long de sa joue pour venir s'écraser dans l'herbe plongé dans le crépuscule. Sa larme brilla comme une étoile un moment avec la lueur de la lune, cette étoile disparu en s'écrasant sur le sol, comme la joie de Petit Renard écrasé par la tristesse. Il fixait son chef et ses oreilles étaient toujours pointé vers l'avant. Ensuite elle continua en annonça la disparition de leur ancien lieutenant, maintenant remplacé par Pelage d'Epine. Il ne connaissait pas vraiment ce félin et n'avait aucune idée de son caractère. Mais il ne se posait pas de question et préférait faire confiance à Etoile d'Ambre. Le nouveau lieutenant parut gêné que tous les regards se pose sur celui-ci, mais il releva par la suite la tête et le minou put apercevoir une lueur de fierté dans ses iris. Lui aussi aimerait être lieutenant plus tard, mais il doutait que ce rêve se réalise.

Petit Renard attendait la suite toujours couché dans les herbe haute qui le protégeait lui et Petite Foudre. Il ne savait pas encore s'il allait se montrer, ou s'incruster discrètement dans la foule pour mieux observé la foule, mais pour le moment il attendait le signale de son amie. Après tout c'était elle la chef et pas lui. Il posa sa tête sur ses pattes avant tout en continuant d'observer la suite, ces temps là semblait étrange aux chatons, et il se demandait s'il y avait eu des choses anormal dans les autres clans. Bientôt il le découvrirait. La lune était magnifique, elle mettait encore plus en valeur les meneurs de chaque clan, et Petit renard trouvait que la meilleur et la plus imposante était Etoile d'Ambre. Ses petits yeux curieux braillaient et attendaient impatiemment la suite.

C'est alors qu'une petit vent fit son apparition. Un petit vent certes, mais assez puissant pour dévoilé aux autres félins la position des deux chatons. Le coeur du chaton commença à battre et ses oreilles se baissèrent sur sa tête. Certains regards était tourné vers eux, les deux chatons étaient découvert et leur plan avait raté. Que ce passera-t-il ensuite ? En plein milieux des annonces ! On ne pouvait pas faire mieux. Petit Renard attendait la suite en regardant les chats qui le fixait, ensuite il aperçut un chat s'approcher de lui, mais il ne le distingua pas, c'était sûrement un guerrier. Le chaton essaya de se faire tout petit mais cela ne servait plus à rien, il se colla le plus possible à son amie, comme si elle pouvait le cacher.....

La vie était chouette lorsque l'on faisait ce que l'on voulait, que l'on était libre de tout. C'est ce que Petit Renard voulait et il ne manquait pas de le faire allant dans tous les territoires même si ceux-là lui étaient interdit, en sortant du clan même si Etoile d'Ambre l'avait déjà prévenue d'arrêter. Tant pis, il voulait s'amuser et cela comptait plus que tout. Et pourquoi ne pas avoir le droit de sortir après tout ? La vie n'était pas marrante après.

C'est pour cela que ce matin un chaton, dont le poil brillait au soleil, courrait dans tout les sens s'arrêtant à chaque fleur pour sentir son doux parfum. Le parfum du printemps, avant de repartir de plus belle et de s'arrêter à la prochaine. Ce chaton avait pleins d'énergie à revendre et se tenir tranquille pour lui était impossible, c'était comme forcer un zèbre à manger du lion après l'avoir chassé. Mais il dormait beaucoup, et lors de ces moment les reines arrivaient enfin à soufflé en regardant la petite boule de poil toute attendrissante.

Aujourd'hui il était de nouveau parti. La veille il avait trouvé un jeune apprenti plutôt sympa et il avait décider de jouer avec lui. Seulement il fallait le trouver ! Et cela était plus compliqué. Il passa d'abord à leur lieu de rencontre : la forêt des pins, mais rien. Il continua alors son chemin toujours en galopant au milieux des papillons. L'herbe était douce et le vent chaud. Il courait et sautait dans tous les sens, même tout seul il arrivait à s'occuper. Ses yeux pétillaient de bonheur et il adorait mener cette vie. Jamais il ne voudrait en être privé. Le chemin était raide cette fois et Petit Renard ralenti le pas jusqu'à la marche. Il s'arrêta encore pour sentir le sol, les fleurs ou autres. Ses petites pattes, plutôt grosse, étaient résistante et choupinette. On adorait les regarder. Dessous se cachait des griffes qui ne sortait qu'en cas de danger et qui pouvait se révélé dangereuse. Il arriva enfin au dessus de la pente, ensuite une descente continuait le chemin. Le chaton courra tout le long, Ses patte allaient beaucoup trop vite et il fini par tombé sur le sol. La poussière s'éleva dans les airs et le chaton descendit sur le dos tout le long. Il regarda le paysage défiler devant ses petits yeux de curieux. Il défilait plutôt vite et Petit Renard n'avait pas l'air de s'en soucier. Il devenait de plus en plus sale et bientôt son pelage ne serait plus reconnaissable. Ses pattes étaient en l'air et sa tête reposait sur le sol car la tenir en l'air demandait trop d'effort vu à la vitesse à laquelle il glissait.
C'est alors que Petit Renard eu le coeur qui s'arrêta de battre un moment. Que lui arrivait-il ? Il ne sentait plus el sol sous son dos. Il n'y avait plus rien, il était en l'air. Paniqué le chaton regarda ce qui lui arrivait, et lorsqu'il s'aperçut enfin qu'il tombait le long d'une grande cascade il poussa un cri aigu. Le chaton rejoignit l'eau. Dans l'eau il n'y avait plus aucun bruit, plus rien. Il poussa alors avec ses quatre pattes pour remonter à la surface. Une fois sa tête hors de l'eau il prit une énorme bouffé d'air et regarda autour de lui. *c'était marrant, je vais recommencer* pensa-t-il. Il amènera même ses amis un jour. C'était drôle.
Son nouveau ami s'était volatilisé de son esprit. Le chaton rejoignit la berge aussi vite qu'il pu. Il était tout mouillé mais tout propre. Une fois en dehors de l'eau il couru de nouveau se dirigeant au dessus de la pente. Petit Renard n'avait pas une allure élégante mais plutôt mignonne avec ses pattes qui ne se posaient pas en même temps et qui était très espacé. Autour de lui les oiseau chantait et l'air lui fouetta le visage. Ses yeux étaient toujours pétillants de bonheur. Mais il s'arrêta d'un coup en regardant par tout. Ses poils de la nuque étaient hérissé. Il sentai
t un regard sur lui mais ne savait pas qui le regardait ni où. Il regarda partout et huma l'air à la recherche d0un indice. Qui était là et qui l'observait ?

Le sol glissait aussi vite que l'éclair sous son dos. Les arbres défilaient tellement vite que l'on ne pouvait distinguer les branches les unes des autres. La poussière s'élevait dans le ciel aussi bleu et pur que l'océan. Un petit vent accompagnait le chaton dans la descends lui ébouriffant le pelage marron rayé de noir. Dans ses yeux on apercevait une joie, une grande joie, tellement grande que certain félins ne l'avait jamais connu. Son petit sourire montrais qu'il était heureux et s'amusait. Il était libre comme l'air, et rien ne l'arrêterais. Petit Renard descendit la pente qui se jetait dans une cascade. Il avait découvert ce jeu par pur hasard. Mais maintenant il s'amusait comme un fou. Ses moustaches frétillaient, et lorsque le sol disparut son coeur s'arrêta de battre jusqu'à ce qu'il tombe dans l'eau froide. Il ressorti de l'eau aussi heureux que ...... Petit Renard, personne n'était plus heureux. Le soleil brillaient toujours, éclairant le paysage avec ses longs rayons. Dans sa course folle le chaton s'arrêta, il sentait quelque chose tomber sur son doux pelage. Mais pas une seule, plusieurs. Comme de la pluie, elle tombait de plus en plus fort, alors que le ciel était dégagé.

Petit Renard ouvrit les yeux. Devant lui la pluie tombait aussi fort que la cascade. Des flaque se formait dans le chemin qu'empruntait les guerriers. Le chaton était tout mouillé et sa fourrure se collait sur ses membres, une sensation très désagréable.
La veille il était allé s'amuser à la cascade, pourtant la meneuse du clan le lui avait bel et bien interdit. Un chaton n'as pas le droit de sortir du clan un point c'est tout ! Mais il n'était pas du genre à obéir ! Et pis quoi encore ? Elle n'allait pas le priver de sa liberté. Lorsqu'il restait au clan il s'ennuyait, et personne ne s'occupait de lui. Le mieux était de sortir un peu. En chemin il s'était perdu et avait décidé de passer la nuit sous les feuilles d'un immense arbre au bord du chemin emprunté par les guerriers. Au moins on le retrouvera. Seulement on ne semblait pas remarquer son absence et il avait fini par s'endormir.

Petit Renard se leva, il était apeuré, l'orage grondait et ne semblait pas vouloir s'arrêter de si tôt. Il essaya de sentir pour repérer un chat, mais la pluie lui embrouillait tous les sens. Il se dirigea vers la flaque la plus proche pour y boire un coup. Regardant de tous les coté à la recherche du moindre danger Petit Renard oublia de vérifié derrière lui. Ses pattes étaient devenu brune comme la terre, son ventre aussi. Ayant fini de se désaltérer le petit chaton s'assit en espérant que quelqu'un vienne à son secours. Il attendit longtemps mais aucune présence ne se montrait. Que ce passait-il ? Il commençait à avoir peur et on voyait dans ses yeux le stress. Si au moins quelqu'un pouvait venir !
Il espérait de toutes ses forces que quelqu'un vienne é sa rencontre, juste pour se sentir en sécurité. Le chaton était abrité sous un arbre dont les feuilles le protégeait de l'eau qui tombait du ciel. C'est alors qu'un bruit sourd transperça ce silence, ou seul la pluie régnait. Ce hurlement était terrifiant et Petit Renard n'attendit pas qu'on lui dise pour réagir. Il s'élança aussitôt dans une course folle se demandant qui était l'animal qui avait poussé un cri si horrible. Il courrait aussi vite qu'il le pu, ses pattes semblait courir sur l'air, son ventre touchait le sol et ses oreilles étaient couchées sur sa tête. Les arbres défilaient à une vitesse grandiose, des obstacle se présentaient obligeant le chaton à sauté au dessus, ou à les contourner. La boue le giclait et maintenant tout son corps était sale. Son souffle devint saccadé et irrégulier. Les griffes étaient sorti et s'agrippait aux feuilles morte. La vitesse était tellement impressionnante qu'il ne voyait pas bien devant lui. Un danger qui pouvait être plus important que celui de derrière, surtout qu'il était loin derrière maintenant. Mais il continuait quand même à courir.
Ses pattes était fatiguer, mais il ne ralenti pourtant pas l'allure. Il ne vit pas qu'une chatte aussi blanche que la neige courrait à l'opposé. Elle aussi courrait aussi vite que l'éclair et ne semblait pas vouloir s'arrêter. Pourtant tous les deux le furent contre leur gré.

Petit Renard senti quelque chose le percuter. Il s'étala plus loin dans la boue. Que ce passait-il ? Après plusieurs mètre de roulade dans la gadoue il put enfin se relever. Il regarda alors la scène. Devant lui, sur le sol, une chatte blanche gisait parmi les arbres. La pluie continuait à marteler les deux félins.
Petit renard était fou de joie, il reconnu Plume d'Arc-en-Ciel. Sa queue montrait son bonheur et ses yeux brillaient de joie. Il avait enfin trouver quelqu'un pour le protéger. Seulement son bonheur se dissipa lorsqu'il vit la chatte morte de peur. Que ce passait-il ? De plus qu'il ne devait pas se trouver ici.

Symphonie Hurlante cherchait l'apprenti turbulent qui n'arrêtais pas de sortir du camp. Pour cause son mentor n'arrivais jamais à lui faire un seul cours depuis le baptême. Cette fois la lieutenant allait le remettre à sa place.
Le pelage blanche de la chatte brillait aux rayons du soleil. Sa démarche était élégante et sa queue se balançait de droite à gauche lentement. Un petit vent vint lui siffler dans les oreilles et lui apportait de nouvelles odeurs familière. Elle se trouvait dans une immense plaine où les fleurs étaient déjà ouverte. Il y avait du jaune, du bleu, du violet, du vert, c0était magnifique. Parmi ce champ de fleur seul une prédateur y marchait. Plus loin on apercevait déjà le chemin du tonnerre avec les monstre qui passait à une vitesse inimaginable. Le bruit était abominable et l'odeur nauséabonde. Y aller était une horreur mais lorsqu'un apprenti risquait de s'y trouver on avait guère le choix.
La magnifique chatte scrutait les alentour de son regard perçant. Des oiseaux étaient dans les parages mais rien d'autre. A vrai dire elle cherchait un chat et non une souris, elle n'allait donc pas se concentrer sur les petits animaux. Un vent se fit de nouveau sentir, ébouriffant la fourrure de Symphonie Hurlante et apportant une odeur. Une odeur, qui cette fois, n'était pas familière à celle-ci. Elle se stoppa et regarda loin devant elle. C'est alors qu'elle aperçut trois chat. Deux guerriers avec un plus petit, sûrement un apprentis. Elle galopa alors à leur rencontre et diminua l'allure lorsqu'elle les eu rattrapé. Ceux-ci s'étaient arrêté. Elle avait les poils de la nuque hérissé et la queue aussi grosse qu'un hérisson. Elle grognait de mécontentement lorsqu'elle aperçut que les deux guerriers n'étaient pas de son clan et qu'il accompagnait l'apprenti qu'elle cherchait : Nuage d'Emeraude. Avec un regard de diable elle prit enfin la parole.

"- Que faites-vous ici ! Vous n'en avez pas l'autorisation !"

Elle regarda les yeux des deux chats adulte, le petit aura sa punition après. Pour le moment cela n'était plus sa principale préoccupation. Il ne connaissait pas le code du guerrier et se permettait de tout faire ! Il venait de le violer. Sa punition ne sera sûrement pas une partie de joie. Il fera un petit tour chaque jour vers les anciens pour les aider dans leur toilette, à enlever les tiques et tout le reste.