La vague lueur de la lune, plutôt terne ce soir là, illuminait tant bien que mal une petite clairière, au centre de la forêt.
Les étoiles ne scintillaient pas. Enfaite, elles semblaient toutes flous, donnant une vague impression de solitude.
Le ciel, lui, était, comme toujours, peint avec de l'encre de chine. Les grands arbres massifs, recourbés, faisaient
pensée à ses histoire funeste, où l’héros se perdait dans l’immensité de la nuit. Ils ressemblaient aussi à des créatures,
souffrant de malformation, attendant avec impatience que l'on baisse sa garde. Puis le hululement d'une chouette vint
briser ce lourd silence, suivit d'un bruit d'aile.

Dans l'herbe haute de la clairière, un petit rongeur du soir se tenais sur ses pattes arrières, les oreilles tendues. Il
avais perçu un bruit suspect et, au moindre bruissement, il décamperai. Il s'élança donc, vers un petit terrier, lorsqu'une
jeune fille pénétra dans son champ de vision. Cette fille ... C'était moi. Mes pupilles se redirent en deux fentes,
et je suivis le rongeur du regard. Cela faisait longtemps que je n'avais pas chasser sous ma forme animalière, et cela
me manquait un peu. Au début, manger une sourie m'avait répugner, puis je m'y étais faite. Après tout, ce n'étais
pas pire que du veau ou une poule. Seul le gout changeait légèrement. Tout en souriant, je m'arrêtais en plein milieu
de la clairière et m'assis sur le sol. Mes yeux redevinrent deux billes, et je fermais les paupières. Bercer par la douce
musique du vent dans les feuillages, je m'allongeais sur le dos. La nuit allait être courte, comme toujours, et le matin
pointerai bientôt son nez. J'entrevoyais déjà la clairière, l'herbe emperlée, et tout les petits animaux sortant de leur
abris de la nuit pour aller manger.


Avant, me transformer me distrayait, mais, maintenant, je n'en plus envie. A vrai dire,
ma dernier métamorphose remontait a plusieurs semaines. Je me relevais enfin, et, après avoir jeter un dernier coup
d'œil au terrier où avais disparu le rongeur, je pivotais lentement sur mes talons et me dirigea vers un petit sentier.
J'allais sortir de la clairière quand, derrière moi, j'entendis un bruissement de pas. Mes l'obscurité était tel que je ne
perçu rien. Me maudissant, je fis un pas, puis un deuxième, en direction de l'autre bout de la clairière. Je plissais
légèrement mes yeux, pour améliorer ma vision, et demandais :

La nuit était fraiche et obscure. Tout avait été englouti par cette noirceur qui apparaissait en même temps que la nuit, on dirais le coeur du diable mais il était souvent apprécier. Certains animaux faisaient leur balade nocturne ou bien chassait, les hunanimaux faisait la balade du soir. Malgré que tout soit noir, cela pouvait être romantique, pourtant c'était assez difficile à imaginer. La vie continuait et tout allait au mieux. Un petit vent s'était installer pour refroidir les corps endormis et la lune brillait dans toute sa splendeur.
Cara marchait au milieu de la forêt des songes. Les arbres étaient penché, comme s'ils étaient fatigué de vivre malgré leur feuilles verte. Le chemin était caillouteux par endroit, quelque fois de la terre sèche apparait, et beaucoup d'herbe vêtis le sol froid. Seul le bruit des pas de la jeune femme brisait ce silence, on aurait cru que la vie revenait. Cara aimait se promener le soir, il faisait frais et personne ne venait l'embêter car les rencontre y étaient rare. Elle voulait juste marcher, mais ne savais pas où aller, juste dans cette forêt où elle se sentait en sécurité, chez elle. Elle ne voyait pas grand chose, mais sa vision suffit pour qu'elle ne change pas d'apparence. Un hululement se fit entendre un instant puis il se tu comme emporté par la nuit profonde. Elle l'ignora et continua sa promenade du soir. L'adolescente ne pensait à rien en particulier, toujours penser était fatiguant et seul la nuit lui permettait de laisser son esprit tranquille: Seulement le jour allait bientôt revenir et tout recommencera, comme d'habitude, Mais elle ne s'y était toujours pas habitué. C'était la vie, peut-être un jour choisira-t-elle de devenir démocrate à son tour, cela avait l'air bien plus facile. Elle parcourrait les nombreux territoires en ours, mangera les poissons qu'elle trouvera en chemin. Cette vie avait l'air bien, mais tout quitter, ses amis, c'était plus dure encore. Alors qu'elle était dans ses vagues pensé un bruit la ramena à la réalité. Cette fois elle entendit le vole d'un oiseau, sûrement celui d'un rapace. Puis le bruit de pas d'homme se fit entendre. Elle se stoppa et regarda dans la direction de ce bruit. Discrète, elle avança sans aucun bruit, comme si elle chassait une biche. Ses yeux aperçurent une silhouette noire, une femme. Elle aussi marchait tranquillement dans la forêt des songes.
Cara continua de marcher derière elle sans se faire voir, que faisait-elle ici ? Elle la suivit sur quelques mètre avant de se trouver stupid à espionner les gens. Alors elle marcha d'un pas normal pour rejoindre la silhouette tant mystérieuse. Les bruits de ses pas étaient de nouveau perceptible et elle entendit un "Qui est là?" Avait-elle peur ? Elle n'en savait rien. Cara ne tarda pas à répondre, mais elle décida de lui faire un peu peur avant.

"- Je suis ton pire cauchemars !! "

Dit-elle avait un ton a vous faire fuir en criant "maman". Puis elle s'approcha encore plus, cette fois l'autre jeune femme pouvait la voir et elle parla d'un ton amusé.

". Je suis Cara, de la Monarchie et toi ?

(c'est vraiment nul, dsl je manque d'inspi

Je me retint d'éclater de rire au parole de ce qui devait être une femme. J'avais peur
de beaucoup de choses, mais certainement pas d'une hunanimaux, ou encore d'une
simple humaine. Une silhouette se détacha alors de l'obscurité. Grande et plutôt
élégante ... J'avais vu juste, c'était bien une femme. Elle sortit peu à peu de l'ombre,
et je pus enfin voir son visage cristallin. Sa chevelure était rousse, si ce n'était pas
rouge, et ses prunelles semblaient être vert, mais, peu importe leur couleur, ils
étaient magnifiques. Je déduis, à la vue de ses traits fins, qu'elle devait être une
jeune majeure. Quiconque de naïf aurai placé immédiatement sa confiance en la
nouvelle venue. Mais, petit problème, je n'étais pas naïve, et rare sont ceux qui
m’on piégé avec leurs manières, leurs sourires et leurs paroles. Tournant à moitié
la tête, pour la voir du coin de l'œil, je lui lançais un regard méfiant, pour l‘avertir
que je ne cherchais pas à comprendre le pourquoi du comment si elle faisait un
pas de plus. Mes membres se crispèrent et je serra les poings , d'instinct , lorsque
la jeune fille se présenta. Elle était de la Monarchie, le clan ennemi. Je grimaçais
aussitôt, avant de apporter entièrement mon intention sur la dénommé Cara,
tournant donc sur moi-même en exécutant un quart de cercle, et de cracher :

-Klina, de l'Anarchie.

Je me redressais de toute ma hauteur, et toisais légèrement la jeune fille du regard.
Qu'elle soit plus âgée que moi ne me m'était pas le moins du monde mal à l'aise et,
un éclat de dégout dans les yeux, je me mit à la détailler. Fine, gracieuse ... Et
surement très sournoise. Je ne portais pas les membres de la Monarchie dans mon
cœurs et leur trouvais toujours un défaut, même si celui-ci était minuscules ... Enfaite,
ils me répugnaient carrément, il fallait bien l'avouer. Ces derniers temps, les deux clans
n'étaient plus aussi tendues et, pour tout dire, cela ma déplaisait. La différence entre
l'Anarchie et la Monarchie était fine, presque invisible, et pourtant, je les coïnciderais
comme inferieur. N'étant, tout de même, pas une guerrière surpuissante, je ne lançais
pas tout de suite les offensives, et préférais détacher mon regard du visage de Cara
pour ne pas en être tentée.