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Le ciel était bas et lourd ce jour là, comme un couvercle. L'horizon n'était pas perceptible par les citadins de la ville de Eihwaz. C'était un jour noir plus triste que les nuit. La terre était devenu un cachot humide. Louna se trouvait au milieu de sa ville, devant une église, elle ne bougeait pas, les citadins la contournait en lui lançant des insultes qu'elle n'écoutait pas. Louna Espérait. Mais cette espérance était comme une chauve-souris qui s'en vas battant de l'air de ses ailes timide et se cognant aux plafond pourris. La pluie tombait formant des barreaux de prison. Le peuple était muet. Louna espérait tellement qu'elle avait la sensation que des araignées tissait leurs filet au fond de son cerveaux, l'empêchant d'espérer et lui donnant le sentiment de peur.
Des cloche sonnèrent avec furie en lançant vers le ciel un affreux hurlement. Les pigeons s'envolèrent sans demander leurs reste. Des passent grinçaient des dents. Puis de l'église sorti de long corbillards sans tambour ni musique, défilent lentement à travers la foule. L'éspoire avait été vaincu. La chauve-souris n'était pas sorti de la pièce sombre. Elle était tombé tel une mouche épuiser de lutter pour traverser un vitre.
L'espoir était vaincu, Louna laissa tomber une larme au milieu de l'eau du ciel. La larme était seule au milieu de cette eau, la seule eau salé, elle vint s'écraser sur le sol parmi tant d'autres. La tête de Louna était incliné laissant glisser l'eau dur ses cheveux noir. Le corbillard disparut dans le ciel lourd et bas laissant derrière lui la jeune femme.

Après quelques temps elle se décida enfin à bouger. Non loin de l'église il y avait un banc humide et pourri. Il risquait à tout moment de s'écrouler sous le poids des hunanimaux. Elle si assis délicatement en continuant à regarder le sol. L'eau formait des flaque. Le bruit était de nouveau là. Un cavalier cria sur un passant qui ne regardait pas où il allait avant de continuer sa route. Personne ne faisait attention à elle. L'espoir était parti et il ne reviendrais pas.

Louna se sentait responsable de la mort de ces enfants. Elle les avaient vu se faire massacrer mais n'avait pas bouger. Elle n'avait rien fait, comme si elle n'existait pas. Elle était une fille horrible, la plus horrible du monde. Elle entendait encore le cris des enfant entre 6 et 8 ans appeler à l'aide. Crier de douleur, courir dans tous les sens. Ils se faisaient massacrer par des hunanimaux transformé en anaconda, en chien, en renard, en félins et elle regardait la scène sans bouger. Pour une fois qu'elle avait eu besoin de ses armes elle les avaient oublié, pressé d'aller chez une amie. Et son minable animal n'était d'aucun secours. Pour la première fois de sa vie elle détestait l'écureuil qui l'habitait ! Pourquoi n'était-elle pas un prédateurs fort et puissant ? C'était injuste. Ces enfants étaient mort par sa faute. Elle ne devait pas vivre, elle devait mourir, jamais revenir dans ce monde. Ce n'était pas sa place elle avait fait le plus gros massacre : assister à la mort d'enfants. Des larmes coulèrent.

Personne ne faisait attention à elle, elle pourra finir tranquillement ce qu'elle devait faire : débarrasser ce monde de la plus horrible créature. Elle ! Louna. De sa poche elle sorti un long couteau. Elle ne souffrira pas, c'était une lâche elle devait se faire mal. Jamais elle ne se ferra pardonner. Elle mourra sur le coup. La lame brilla comme un soleil, mais celui-ci s'éteignit aussi vite qu'une petite flamme au vent. Elle regardait la population, elle n'entendait plus rien comme si elle était devenu sourde. Louna allait enfin passer à l'action. Elle leva son couteau vers son coeur, ferma les yeux, et leva la tête se recevant la pluie sur son visage aussi triste que la mort. Rien ne pouvait l'arrêter.

(oui ont est meilleures amies)

Alors que Louna fermait les yeux ne pensant à rien, en faisant juste le vide dans son esprit. Son esprit horrible qu'aucun être n'aurait du avoir. L'eau coulait sur son visage fin tel des larmes. On aurait dit que le ciel était triste, comme s'il voulait garder la plus horrible des créatures en vie. Mais elle ne voulait pas, personne ne pourrais lui empêcher. Elle avait le couteau et allait le planter. Le monde serait enfin débarrassé d'un monstre et tout finirais bien. Oui tout absolument tout ! Elle n'avait pas le droit de vivre. Serrant plus fort son couteau elle le recula d'elle pour ensuite prendre de l'élan et se l'enfoncé dans sa poitrine. Son coeur cesserait de battre et tout le monde sera enfin tranquille. Elle ferma les yeux encore plus fort ainsi que ses dents. Alors qu'elle allait planter son couteau quelque chose s'interposa et le lui prit des mains. Il s'agissait de main douce et fine de jeune fille. Pourquoi l'avait-t-elle arrêté ? Elle faisait un crime sans le savoir et devait lui rendre son couteau.

Louna ouvrit les yeux et contempla celle qui lui avait empêcher de finir le bien de tous. Elle était plutôt joli, les cheveux long et roux, le visage clair et fin et ses yeux pétillant. Elle l'a reconnu alors : Lou, celle à qui elle l'avait catapulté de noisette. Pourquoi ne voulait-elle pas que celle-ci se suicide. Après tout c'était son choix et elle n'avait pas le droit de décider ainsi de ses actes. Voyant son regard elle savait que reprendre l'arme par la force ne servait à rien. Elle devait trouver autre chose. La jeune femme se coupa un peu le doigt. Du sang rouge coula et se mélangea à l'eau. Mais ce n'était pas son sang qui devait rejoindre l'eau mais celui de Louna. D'après elle, elle faisait une bêtise. Louna la regarda dans les yeux et laissa un court instant de silence avant de répliquer.

"- Je sais très bien ce que je fais, et si tu savais qui j'était tu me le planterais toi ! Donc rend le moi s'il te plait pour que je puisse sauver la population !"

Louna parlait d'un ton calme, doux. Elle la regarda d'une façon particulière, qui n'avait rien de menaçant et ne contenait aucune gentillesse. Pourquoi l'arrêtait-elle ? Elle voulait mourir et avait le droit ! Elle attendit la réaction de Lou en espérant qu'elle le lui tende et la laisse finir ce qu'elle avait commencé avant qu'elle ne change d'avis. Les passants continuait leur route comme si de rien n'était. Pourquoi la jeune fille ne faisait pas de même ? Elle devrait les imiter et la laisser tranquille.

(je pense que ca existe, dsl du retard)

Louna regarda le sol et écoutait à moitié la jeune fille à coté d'elle. C'est vrai, peut-être devrait-elle lui expliquer la situation, comme ça elle comprendras mieux pourquoi elle voulait mourir et la laisserais faire. Oui elle allait lui dire comme ca elle pourra finir ce qu'elle faisait. Elle la regarda dans les yeux et commença à ouvrir la bouche. Elle se referma aussitôt pour suivre le regard de la jeune fille. Son regard se posa sur un raton-laveur qui les regardait sur un toit. Que faisait-il ? Louna se leva et regarda le rongeur avant de lui parler.

"- Et oh ! Tu fais quoi ? Pourquoi tu nous regarde ?"

Ce fut la seule chose qu'elle dit. Dans sa tristesse elle ne pouvait rien dire de mieux.

dsl c trèèès pourrir mais pleins de truc sur la panche