Avez-vous déjà ressentit une brusque tristesse en vous ? Quelque chose qui vous transperce sans que vous n’ayez fait quoi que se soit ? Se qu’Aëlwenn ressentit se jour-là fut une sensation proche de celle-la. Personne n’avait idée de sont triste et maussade passé solitaire. Personne n’avait jamais imaginé qu’elle avait été la souffrance qu’elle avait si longtemps renfermée en elle. Toujours rejetée, de lourds soupçons pesaient sur elle à l’age de 6 ans, alors qu’elle n’avait derrière elle que 2 ans de souvenirs. 2 ans de passé, cela était court comparé au autres enfant de sont entourage qui avait grandit dans la joie et le réconfort de leurs parents et de leurs amis. Aëlwenn elle n’avait rien eu. Elle passait ses journée dans les forêts, les ruelles sombres, ou tout endroit ou elle se saurait seul et tranquille. A cet âge cela ne la dérangeait pas encore mais elle comprit vite qu’elle n’aurait pas une vie facile. Elle apprit au fur et a mesure des année que dans se monde elle devrait se battre pour survivre. Elle décida alors qu’elle se forgerait un caractère bien a elle en dépit de sa loyauté et de l’amour qu’elle portait pour certaines choses. Autodidacte, elle apprit seul a se déplacée furtivement, attaquer des bêtes sauvages, manier les armes blanches et surtout ce battre avec agilité, vitesse et férocité sans oublier l’intelligence et la techniques. Elle sut se faire furtive, et persévéra dans se monde peuplé d’êtres sur-développés pouvant se transformer en animaux plus puissant encore que la simple race animal. La petite fille qu’elle était détestait l’idée d’avoir crée ces deux guildes qui fissuraient Tamaha en deux parties qui s’opposaient contre l’amour qu’elles pourraient se donner. Aëlwenn encore aujourd’hui, voudrait que se mur qui les sépares tombent…

Alors qu’elle nattait sa longue chevelure ébène pour se préparé a sont entraînement quotidien, la jeune fille entendit un bourdonnement dans sa tête, elle regarda autour d’elle anxieuse, puis scruta la porte d’entrée de sa « maison » elle vivait dans un pauvre sous sol sombre, remplit de plantes vertes qui poussait abonnement malgré le manque de luminosité et de l’espace peu vaste dans lequel elles vivaient. Ses plantes paressaient bouger, une sorte de magie les enchantaient, une force, probablement celle d’Aëlwenn. Comme tout les humanimaux, elle possédait une sorte de force inconsciente dans lequel elle puisait en cas de derniers recours. Comme illuminées par de minuscules lucioles, la végétation semblait suivre les mouvements d’Aëlwenn, qui se déplaçait discrète comme une ombre. Elle semblait agacée, quelque chose la dérangeait, comme si quelqu’un l’épiait et que cette fois ci elle n’arrivait pas à le détectée. Mais personne ne la scrutait. Non, personne ne l’observait. Décidant d’ignorer cette gaine, elle revêtis ça combinaisons préférée, lui permettant de passé inaperçu dans les grandes rue traversées par un tat de monde. Elle lui permettait aussi d’avantagée sa souplesse et sa rapidité, l’habit idéale pour une combattante de sont niveau. Cette tenue uniformément répartie couvrait tout sont corps jusqu’en haut de sont coup. Elle avait la possibilité de la repliée aussi sur ça tête pour caché sont teint pale comme la neige. Le vêtement était moins opaque au dessus de ça poitrine laissant apercevoir sur ça peau une tache de naissance en forme de plume bien distincte. Le zonzonement dans sont cerveau s’accentua, elle était mal a l’aise, cela la dérangeait, s’aggravait, la gênait horriblement, jusqu'à la rendre folle. Elle s’écroula en se prenant la tête, et se mit a hurlée gravement. Elle n’avait pu retenir ce cri de rage qui aggrava la pression pesant sur la tête. Elle se releva d’un bon faisant frissonner les plantes autour d’elle, attrapa ses coutelas au vol les enfourna dans leurs fourreaux et partie en claquant la porte de sont habitat. Puis elle courut, courut, le long des ruelles, traversants les pont a une allure phénoménale, jouant sur sa rapidité, sont allure gracieuse et discrète ne la fit pas remarquée par les passants. Arrivée aux grandes portes de la ville, elle n’avait pas de temps a perdre avec les gardes, devoir leur expliquer les raisons de sa sortie de la ville… elle escalada en deux tant trois mouvements le mur de 5 mettre de haut qui encerclait la ville et sauta de l’autre coté. Avant de toucher le sol elle se transforma en un majestueux aigle noir, filant dans le vent, discret et furtif malgré sa grande taille. Elle fonçait vers la foret la proche de la ville, la où se trouvait la Cascade Dorée. Sont esprit s’apaisa alors qu’elle sentit le bourdonnement s'amenuiser dans sont cerveau. Quel soulagement ! Elle battit une fois des ailes et se laissa planer au dessus des champs coupés par d’agricoles chemins menant tout droit sur cette forêt. Se qui la surprit le plus c’est qu’elle se mit a pleurée. Ça vue parfaite de rapace se brouillait noyée dans les larmes salée de la jeune fille transformée. Les goûtes perlait à l’horizontale contre sont plumage à cause de la vitesse et du vent. Ce fut la première fois depuis bien des années qu’elle pleurait ! Sont caractère en acier l’avait protégé de beaucoup de sentiments et l’avait renfermée sur elle-même, elle se posa dans la magnifique foret qui paressait enchantée et reprit forme humaine. Honteuse, elle essuya en hâte ses larmes et marcha sans faire craquer la moindre feuille morte. Lente mais gracieuse, elle observait tout autour d’elle le moindre détail, elle nota que beaucoup d’êtres vivaient dans cette chaleureuse mais intrigante forêt. La aussi elle se sentait observée, mais pas de la même façon… par plusieurs êtres. Beaucoup. Comme happée par une force imperceptible, elle se dirigeait sans vraiment le vouloir d’un coté précis de la forêt. De nombreux bruit naturel, la rendit attentive et encore plus curieuse. Elle n’avait pas peur. Loin de la. Un son régulier attira sont attention, de l’eau. Elle écarta les buisson de la lumineuse forêt et découvrit sans pêne un magnifique torrent d’une couleur bien étrange, elle le remonta du regard et ses yeux se posèrent sur de grandes chutes d’eau a l’aspect précieux, elles était dorées. C’était cette fameuse cascade dont elle avait souvent entendu parlée. Elle s’approcha. Elle avait complètement oublié qu’elle s’était effondrée en sanglots juste avant, submergée par les sentiments. Elle s’approcha, attiré par ce phénomène naturel d’une bien étrange teinte et toucha l’eau du bout de se main, prudente. Elle n’aimait pas vraiment l’eau mais celle-ci l’attirait, soudain elle sentit une présence dans ses alentours, puis une autre ! Et une troisième ! Elle resta plus calme que jamais, livide, attentive, elle n’avait pas retirée sont doigt de l’eau, comme si de rien n’était mais elle entendait le moindre bruissement de feuille, comme si elle avait des yeux dans le dos elle se laissa guidée par sont instinct et en un clin d’œil, disparut !
En faite elle n’avait pas vraiment disparut, elle avait simplement sautée a une vitesse insensée dans l’arbre qui couvrais une partie du torrent au dessus d’elle. Elle marcha d’arbre en arbre jusqu'à arrivée au dessus d’un des être qu’elle avait pressentit, elle jaillit de sous les feuillages de l’arbre, la tête a l’envers, accroché par les pied a l’une des branches de l’arbre, juste devant l’humanimal qui avait semblé la guetter et qui avait été bien surprit qu’elle réapparaisse devant lui ou elle.

-HHAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!

S’étouffa cette curieuse personne. Cela amusa Aëlwenn, la mettant d’un peu meilleure humeur.

Mais qui était cet étrange personnage ?

La lumière transperça les nuages qui recouvrait les territoires, et des arbres se dressèrent soudain tel des sentinelle sur la crête des collines. Un chant de coq résonna dans une ferme lointaine annonçant un nouveau jour, puis s'éteignit comme si le brouillard l'avait englouti. Seul les pas d'un ours se faisait entendre parmi la flore dans la brume. Cara s'était dirigée vers les cascades dorées. Un endroit magnifique, ou on semblait voir l'or couler. Quelques années auparavant elle se trouvaient toujours chez son maître, un homme qui la torturait et qui l'obligea ensuite à torturer ses parents. La première fois qu'elle l'avait vu elle avait reconnu une vipère sous un corps d'humain. Elle détestait cet homme. Mais à présent il était mort. Le premier jour de sa liberté, offerte par Kalhan, celle-ci l'avait ammené à cet endroit pour qu'elle reprenne le goût de la vie. On aurait pu mieux faire. L'adolescent avait retrouvée tous les sentiments : l'amour, la passion, la joie. Sa vie était redevenu heureuse et elle ne remerciera jamais assez Kalhan.

Elle adorait se transformer en ours, elle ressentait la sécurité et la force. Aucun être ne pouvait s'opposer à elle, excepté certain êtres mais ils étaient peu. Elle s'approchait de plus en plus de la cascade. Le vent tourna lui faisant détecter une présence. Une jeune femme se n'était pas très loin. Cara s'approcha en faisant le moins de bruit possible avec son énorme ours brun. Une ombre courbé sur l'eau attira son intention. La jeune femme avait un doigt dans l'eau et ne semblait pas avoir remarqué sa présence. Cara repéra de la tristesse, que lui arrivait-il ? Malheureusement elle n'était pas une personne qui savait remonter le moral. Elle n'y était jamais arrivé et préféra donc repartir pour la laisser seul calmé son chagrin. C'était la meilleure chose que Cara puisse faire. Alors qu'elle s'apprêtait à repartir l'adolescent n'était plus là, elle avait disparût. Son regard d'ours scruta les alentours avec attention pour essayer de la retrouver, mais rien à faire elle avait bel et bien disparut. Ensuite elle aperçut du bruit au dessus de sa tête. Elle la releva mais en même temps quelque chose tomba en criant. Cara pris peur elle cria aussi avec sa voix d'ours et ouvrit grand la gueule en montrant ses crocs ! Jamais elle n'avait eu aussi peur de sa vie. Son coeur menaçait d'exploser de sa poitrine. Il se calma quand elle reconnut la fille de tout à l'heure. Normal qu'elle ne l'avait pas vu elle se baladait dans les arbres. Celle-ci était coincé dans l'arbre la tête en bas. Cara se mit sur ses pattes arrière et l'attrapa pour la poser au sol. Une fois que cela fut fait elle reprit sa forme humain pour pouvoir parler.

"- Tu m'a fait une de ces peur ! T'es un écureuil ou bien ?"

Elle regarda le regard de la jeune fille. Elle ne semblait pas être en confiance. L'adolescente n'arrivait pas à percevoir le sentiment de la jeune fille. Elle ne voyait pas seulement de la tristesse....

Aëlwenn n’avait put s’empêcher de faire peur à la jeune fille, qui ne le prit pas mal. En faite elle ne voulait pas vraiment l’effrayer, juste la prendre par surprise, elle avait imaginée que la jeune humanimale se serrait enfuie, ou l’aurait attaquée si elle s’était doucement rapprochée. Un peu déstabilisée par l’ours qui la descendit de sont perchoir, elle n’avait pas l’habitude qu’ont la prenne dans ses bras, même pour la tirer de ça cachette. Elle jeta un coup d’œil derrière elle, là ou elle s’était assise, près des grandes chutes enchantée à l’étrange couleur or. Puis vivement se retourna vert la nouvelle venue. En 1 courte seconde elle la détailla. Ses cheveux cuivrés, mi-long et son regard vert profond lui rappelait quelqu’un… une vague image se dessina dans sont esprit, quelqu’un qu’elle avait rencontré… à la St Valentin… du nom de… Malwën ! Quand se prénom retentit dans sa tête l’image apparut d’un seul coup plus nette. La taille fine et musclée de la jeune femme lui rappelait qu’elle jouait elle aussi au trompe-l’œil avec les gens qui croyaient qu’elle était faible et fragile, puis reçurent un coup fatal, les assommant avec violence. Elle avait l’air tout juste plus âgée qu’elle. Encore ébranlée par afflu de sentiments qui l’avait brutalement submergé, elle ne répondit pas immédiatement à la question ahuri de sont interlocutrice. N’étant pas vraiment habile sur les jeux de mots, elle ne comprit pas tout de suite la métaphore qu’elle lui posa.

-heu… non je ne suis pas un écureuil… je suis un aigle…

Peu bavarde, elle fut embarrassé par cette question, mais détourna le sujet pour mieux la connaître. Sa loyauté prit le dessus et elle se présenta.

-je suis Aëlwenn, ANARCHISTE et aigle noir, vous devez être…

Elle attendait que la jeune femme finisse sa phrase en se présentant à sont tour. Elle révisa tous les visages d’humanimaux ANARCHISTES qu’elle avait observée, mais ne reconnut pas cette fille dans le pseudo « répertoire » de sa mémoire. Une MONARCHISTE ? Ou une DÉMOCRATE ?
Aëlwenn se foutait d’avoir des amis MONARCHISTES, elle était même contre cet esprit de confrontation, toute cette rivalité qui opposait les deux guildes politique la hantait. Elle aurait aimé détruire ces remparts qui l’enrageait. Chaque fois que les membres des deux groupes se provoquaient elle avait envie de les séparer brutalement et de leurs faire la morale. Sont combat avec le jeune voleur, Fitz, l’autre soir, n’était du qu’au vol qu’il avait commit ( et qu’elle et sont amie Taniah voulait aussi commettre ). Sans cela rien ne se serrait passé, ni se duel surprenant, ni ça défaite, et d’un coté aussi celle du jeune homme qui n’avait pas récupéré le livre.

La jeune femme sembla destabilisé lorsque Cara l'a prit entre ses grosse pattes, il y avait de quoi avoir un peu peur. Qu'elle idée de faire peur à un ours ! Elle se présenta c'était Aëlween une anarchiste qui pouvait se transformer en aigle noir. Elle ne fini pas sa phrase pour que Cara la reprenne. Celle-ci la regarda avec un regard sympathique et lui répondit avec une voix plutôt douce.

"- Je suis Cara de la Monarchie. Tu aime bien te baigné ou tu viens ici pour le paysage ?"

Cara n'était pas la pro des discussion. La plupart du temps on lui demandais son avis ou au moins ne la commençait pas. Elle demanda ce qui lui passa en premier dans la tête. Cara l'entraina au bord de l'eau et toutes les deux s'assirent sur les rochers.

(dsl j'ai un peu la flemme là)