Un dérangement passager ? [Cara et Hall]

Invité

Je me promenais tranquillement sur les collines ensanglantées. Un soleil radieux me brûlait la peau et j'étais sûre de finir la journée avec d'énormes coups de soleil. J'ai oublié de préciser : quand je dis "je me promenais tranquillement", cela veut dire que personne ne se trouvait dans les parages à au moins dix kilomètres ! Je ne supportais vraiment pas le monde ! Je n'y pouvais rien ! Ils me faisaient pitié ou peut, cela dépendait.

Je marchais donc à petits pas, ma forme d'animal n'est pas grande et j'avais trop chaud, habituée comme je l'étais à la neige et au blizzard.

Vous vous demandez sûrement ce qu'un renard polaire fait dans un endroit exposé aux rayons meurtriers de notre étoile ? Eh bien, je ne savais trop en fait. J'avais commencé ma promenade et mes pas m'avaient automatiquement menés vers ses collines rouges. Peut-être allais-je y faire une rencontre qui allait bouleverser ma vie ? Je ne crois pas au prince charmant ni au destin, désolée !

Soudain, je sentis une présence juste derrière moi. Instantanément mon pouls s'accéléra de même que ma respiration. Je me tournai vers "l'intru" et demandai, d"une voix mal assurée :

"Qui es-tu ? Que me veux-tu ?"

Invité

"N'aies pas peur Dounia, ce n'est que moi, Hall" avais-je dis après que celle-ci, affolée, me hurle littéralement dessus.
Je m'approchai d'elle et lui caressais le flanc avec ma queue pour la réconforter.
"Que fais tu ici" lui demandais-je. Il faisait vraiment chaud ici et il n'y avais pas âme qui vives à 10 kilomètres à la ronde. Je lui tapotait le bout du museau quand soudain, nous n'étions plus seuls. Je fis comme si de rien n'était espérant pour Dounia qu'elle n'entende pas, si elle continuait à être aussi affolée, elle allait finir pas avoir une crise cardiaque.
Je brossais les épis de blé avec ma queue pour cacher les bruits de pas un peu trop indiscrets.

Invité

Une personne me répondit d'une voix calme et rassurante que ce n'était rien. Il s'appelait Hall. Il se rapprocha lentement de moi et me caressa lentement le flanc droit avec sa queue. Puis, il me demanda gentiment ce que je faisais ici. Il avait en effet raison de s'inquiéter : je crois qu'avec la chaleur et la peur qu'il m'avait faite, j'allais faire au moins une crise cardiaque !

Il se mit ensuite à me tapoter délicatement le museau. Cette gentillesse si spontanée me calma tout de suite. Cela faisait longtemps que quelqu'un s'occupait de moi et je dois avouer que cela me faisait plaisir.

Soudain, je ressentis une alarme dans la tête : une autre personne se trouvait sur les lieux. Hall ne voulait apparemment pas me troubler car il caressait les épis de blé afin de masquer les bruits de pas. C'était fort aimable à lui, mais je n'étais pas un idiote et mon instinct de survie me conseillait de trouver un abri le plus vite possible.

Je m'apprêtais à bondir sous le ventre de Hall, quand ...

(en faite j'aurais pu répondre avec Cara, j'avait pas vu jusqu'au bout, pas grave, Dounia tu dis si tu veux que je change de perso)

......un glouton au poil brun et marron lui sauta dessus.

Fitz s'était levé tard pour une fois et cela lui faisait du bien. Il avait pris son déjeuné avant de sortir se promener. L'air était frais et un petit vent venait lui siffler dans ses oreilles. Le soleil transperçait les nuage en inondant les territoire de sa vive lumière. L'adolescent se changea en glouton avant de s'enfoncer dans la forêt qui entourait son habitation. Sous cette forme il pouvait aller plus vite et était plus endurant. Le glouton décida quand même de marcher. Ses pas l'avait amenés dans un paysage rouge couleur sang. Il y était déjà allé une fois et avait rencontré sa soeur. Il continua à avancer.

Des voix se firent entendre, Fitz s'arrêta et écouta. Il repéra Hall et une fille qui semblait avoir peur. Son ami essayait de calmer la renarde blanche. Tous les deux étaient transformé et Hall ne faisait même pas la moitié de la femelle. Fitz ricana puis se tu. Alors qu'il allait se montrer la renarde sa jeta sous le ventre de Hall. Fitz pris peur, il pensait qu'elle voulait le tuer. Il courut donc et se jeta sur l' pour l'en empêcher.

Le renard et le glouton firent des roulé-boulé jusqu'en bas de la colline, comment osait-elle faire du mal à Hall ? Puis Fitz se dégagea et envoya la jeune femme plus loin. Ensuite il fléchit sur ses pattes et grogna en montrant ses crocs. Qu'elle est qncore une mauvais intention et elle était morte ! Hall lui avait déjà sauvé la vie, il venait de lui rendre sa dette.

(dslc'est pas super)

(je te rentre juste dedans et on tombe ensemble sur la colline, puis je te menace c tout)

Invité

Hall prit son élan et sauta au pied de la colline en un bond pour atterrir à côté de Fitz. Il l'envoya rouler en boule un peu plus loin. Il s'élança vers Dounia et il lui caressa le flanc et le bout du museau. Il lui fit signe de la suivre. Il grimpa vers le haut de la colline, il gonfla le torse et il poussa un miaulement qui voulait dire :
"Attrapes moi si tu peux" et il commença à rigoler. Il bondit vers les champs suivit de Dounia un peu perdue. Il lui intima le silence et ils coururent vers d'autres collines. Il courait quand il sentit une odeur de glouton. Il commença à rigoler et bifurqua vers une colline où il montait et miaula :
"Je suis là". Dounia de plus en plus perdue suivait malgré elle le mouvement.

Invité

C'est très bien, tu peux garder Fitz, cela ne me gêne pas, (tu pourrais être un peu plus doux avec moi, svp ! lol)

Invité

Je fus soudain projetée d'en dessous de la protection ventrale (pas ventripotente, lol) de Hall par un glouton, très agressif, c'est le moins que l'on puisse dire ! Nous descendîmes la colline en roulant sur nous-mêmes : l'intru était cependant accroché à moi et ne semblait pas vouloir me lâcher.

Arrivés en bas de la côte, le glouton m'envoyer bouler, je vous assure, comme une balle, plus loin. Puis il me montra les crocs. Que lui avais-je fait ? Je ne comprend plus rien à rien ! Malgré ma grande réserve, je n'aimais pas que l'on me cherche ! J'étais prête à l'affronter et s'il croyait qu'il me faisait peur avec sa taille, il se fourrait le doigt de l'oeil jusqu'à l'os !

Cependant, Hall débarqua et poussa le glouton gentiment mais fermement sur le côté. Puis, il me rassura en me passant le bout de la queue sur le flanc en me faisant signe de le suivre. Nous courûmes alors à travers la campagne. Je ne savais trop que penser : Hall et ce glouton semblait être très ami, on aurait dit que Hall lui faisait une farce. je ne lui posais néanmoins aucune question : il m'avait en effet intimer le silence.

Le glouton paraissait être à nos trousses car une forte odeur se dégageait, un peu en retrait, mais de plus en plus près ! Je devais bien avoir l'air d'une idiote, pour les deux, d'ailleurs : je suivais Hall sans mot dire, haletante, en sueur à cause de la chaleur torride de cet après-midi.

Hall lui sauta desssu et le glouton continua sa chute un peu plus bas. Quand il pu se relever le matou était déjà parti suivit de la renarde. Apparemment ils étaient devenu amis et Fitz venait de faire une gaffe. Hall criait pour que la glouton puisse le repérer dans les colline couleur rouge. Il avait envie de s'amuser un peut, pourquoi pas. Dès qu'il identifia la position des deux amis il s'élança aussitôt vers celle-ci. Il courrait assez vite (je sais pas si ca court vite, si vous trouver de l'info XD) mais les deux autres aussi étaient rapide, surtout le renard (peux aller jusqu'à 60 km/h XD). Les cailloux dégringolait jusqu'en bas de la colline et Fitz montait, desencdait, remontait les collines. Hall avait l'air de bien connaître cet endroit pas comme lui. C'était la deuxième fois qu'il y venait. Il ne pouvait se fit à son odorat et à son ouïe. Tous d'un coup il les repéra. Fitz sauta vers les deux amis et allors qu'il était toujours en l'air....

(dsl manque vraiment d'inspi)

Invité

Le glouton nous avait presque rejoint. Il était de plus en plus près et je sentais pratiquement son haleine chaude sur mon cou. Soudain, Hall s'arrêta et je fis de même. Le glouton profita de ce moment pour nous sauter dessus. Au moment où il était encore en l'air, je bondis, toutes griffes dehors, pour protéger Hall. Ils semblaient pourtant se connaître, mais j'ignorais s'ils étaient amis et deux précautions valent mieux qu'une !

Je lui rentrais dans le ventre et nous roulâmes, accrochés l'un à l'autre. J'étais solidement arrimée à son ventre et je ne comptais pas partir ! Sauf si Hall voulait bien intervenir ! J'étais donc collée au glouton, quand je sentis les forces me manquer : tant de stress d'un coup m'avait été fatidique.

En moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, je me transformais en une jeune fille, apeurée et toute nue. Je lâchai le glouton et retombai à terre, quasiment inconsciente ! Je ne pouvais ni me protéger, ni protéger Hall de ce glouton. Cela me fit monter les larmes aux yeux : que j'étais faible et incapable. Je me demandais comment cela se faisait que ma vie ne se fût pas encore terminer !

Je savais leurs regards vrillés sur moi et essayai maladroitement de cacher mon indécente nudité. Je n'aurais jamais dû venir me promener dans un endroit si chaud et si isolé !

Le renard blanc lui sauta dessus en lui plantant les griffes dans le corps. Il n'eu pas mal grâce à tout ce qu'il avait enduré auparavant. Les deux animaux roulèrent dans l'herbe rouge des collines. Cette descente s'arrêta enfin et le glouton se releva puis regarda l'amie de Hall. Il s'arrêta de stupeur quand il l'a vue en humaine mais complètement nu. Elle était plutôt joli et il aimait bien ses rondeurs. Elle semblait mal à l'aise et c'était compréhensible. Fitz n'aimait pas non plus la regarder sans vêtement c'était un peu gênant. (finalement Hall est mon frère). Il détourna alors le regard pour la laisser en paix mais il s'entait qu'elle pleurait. Etait-ce encore à cause de lui qu'elle pleurait ?! Il en avait bien l'impression, sa colère remonta de nouveau, combien de fille allait-il faire pleurer à la fin ! N'en pouvant plus de voir pleurer les personnes il décida sur le champs de rester enfermer chez lui, il ne manquera à personne et tout ira bien. Derrière lui il entendit les pas de son frère. Il rejoignait les deux hananimaux au pas de course, mais Fitz ne lui lança même pas un regard et parti dans la direction opposé. Il se demandait si quelqu'un allait l'arrêter, mais après tout il s'en moquait. Au moins son frère s'avait faire rire les filles, pas comme lui, c'était un raté de la vie.